Black Girls From Laval

Le racisme au Québec: perspectives noires et réalités systémiques

Naï (Aïcha Black), Christle et LauToTheRey

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Le racisme subtil qui imprègne notre société québécoise se révèle parfois dans les endroits les plus inattendus - comme une émission de téléréalité. Quand les deux participants noirs de Big Brother se retrouvent rapidement nominés pour l'élimination, Renz y voit le reflet d'une expérience trop familière: celle d'être systématiquement "choisi en dernier" malgré ses compétences et son talent.

Cette conversation captivante dévoile les mécanismes du racisme systémique au Québec, où même des alliés supposés se préoccupent davantage de l'image projetée que du vécu réel des personnes racisées. Avec une honnêteté désarmante, Renz partage ses expériences personnelles dans le milieu artistique québécois, où certains types de personnes noires sont considérés comme "acceptables" tandis que d'autres sont marginalisés pour être "trop noirs" dans leur expression et leur identité.

Le podcast explore également les divisions douloureuses au sein même de la communauté noire, où certains artistes refusent de travailler avec leurs pairs racisés. Pour Renz, la véritable révolution viendrait d'une implication sincère des personnes blanches dans la lutte contre le racisme, plutôt que de laisser ce fardeau aux seules personnes qui en subissent les conséquences. Une conversation essentielle qui nous invite tous à réfléchir à notre rôle dans la perpétuation ou le démantèlement des structures racistes qui persistent dans notre société. Partagez vos réflexions et expériences dans les commentaires - cette conversation ne fait que commencer.

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Speaker 1:

Bon matin Renz, bon matin bon après-midi. Je veux savoir c'est quoi ton problème avec Big Brother.

Speaker 2:

L'émission en elle-même pas grand-chose.

Speaker 3:

L'extrait que tu as vu mettre là.

Speaker 2:

Ah, quand ils ont essayé de sanitiser pour nettoyer Big Brother. Est-ce que je suis seul à avoir l'impression que certains d'entre eux, sauf?

Speaker 3:

Fabiola Barneve ont eu une conversation cérébrale qui avait l'air de La maison est vraiment cool, mais elle serait pas encore plus cool si on était comme entre nous autres.

Speaker 2:

C'est Regarde, j'ai mis un extrait parce que, bon, la manière que ça marche, si j'ai bien compris, c'est que les gens mettent en élimination ou en danger un nombre de personnes, tu vois, puis, le truc, c'est comme Tu sais, on est dans le show business right. Puis, si les gens, ils avaient des conversations honnêtes entre eux, voir s'ils l'ont dans leur tête, c'est pas dur pour moi de croire que les gens se sont dit Bien, on va nominer les Noirs, parce qu'on est au Québec, anyway, ils vont pas rester longtemps, mais ne se l'a dit. Puis c'est arrivé. Puis, quand c'est arrivé, puis, tout le monde s'est rendu compte que ça arrivait en public, les gens n'ont pas dit Ah, c'est chiant pour les gens qu'on côtoie depuis des jours, avec qui on est comme High five, high five. Non, ils ont dit Ça ne va pas être plus bon des messages, mais que l'image est dégueulasse.

Speaker 2:

Puis, ça, c'est les gens de gauche supposés être nos amis. C'est-à-dire, même dans un jeu, où C'est un jeu pour la télé, ton stand, là même, là, il ne va pas L'émission de télé peut. Mais je trouvais que c'était une belle projection dans le psyché de citoyens québécois par rapport à des gens qui ne leur ressemblent pas, parce que, peut-être, c'est un accident. C'est un accident parce que, fondamentalement, la personne qui gagne le 6-49,. C'est un accident. Tu vois, tout est possible, mais je vis aussi ici.

Speaker 2:

Puis, le fait que je vois ces deux noirs-là avoir ce que moi, j'ai vécu tout au long de ma vie, qui est d'être choisi le dernier, essentiellement pour faire partie d'une équipe, puis aussi, pas juste d'être choisi le dernier, parce que ça limite en tant qu'enfant, parce que ça, c'est plus quelque chose que je vis en tant qu'adulte, mais en tant qu'enfant. Ah, c'est ma journée d'école. Tu sais, ils ne me connaissent pas, mais il y a une année où ça arrive, tu te rends compte, ça arrive la dernière semaine d'école aussi. Tu vois ce que je veux dire. Puis, c'est ça que j'ai vu maintenant, i don't care about Big Brother. Je veux dire c'est une émission de télé qui n'a pas besoin de mon opinion, mon argent, mais les gens qui sont dedans, il y en a là-dedans que je côtoie Vite fait, c'est show business, pas un gros business.

Speaker 2:

J'ai plus de On va avoir le temps de parler dans les questions qu'on parle, mais j'ai plus beaucoup de sympathie parce que les histoires de race, nous, on est le receveur de ça, mais on n'est pas l'initiateur. Tu vois, moi, je vois des gens qui sont toujours en train d'avoir le bon speech, mais qui ne traversent jamais la rue pour. Tu vois le côté de la question. Tu sais, la gauche québécoise, la gauche occidentale, la gauche nord-américaine, c'est une gauche qui se complète dans l'idée d'être meilleure que les mauvais. Ça fait qu'ils n'ont jamais le sentiment de devoir se rapprocher de c'est quoi ta réalité à toi, parce qu'ils n'ont qu'à dire oui, mais check, eux autres là, va donc t'occuper d'eux autres, moi pendant ce temps-là, je ne vais pas être bon.

Speaker 3:

Donald Trump's campaign has spent tens of millions of dollars. They're trying to define you on this.

Speaker 2:

Yes, I'm asking you to define yourself, though. Just broadly speaking, what is?

Speaker 3:

your value. Do you believe they should have that access? I believe that people, as the law states.

Speaker 2:

Fait que, pour moi, c'est tout ça. Puis, you know, chaque année, je vois le peuple québécois, genre, si je suis capable de le prendre dans un bloc dans mes échanges, mes médias sociaux, s'éveiller. Tu vois être plus confortable avec l'idée de dire je le vois, c'est raciste. Bon, d'ailleurs, toutes les vidéos sur TikTok, c'est toutes des Blancs. Moi, je suis arrivé en dernier, là, moi, je n'avais pas envie de rentrer là-dessus, c'est parce que les gens n'arrêtaient pas de m'écrire. Il riait, il riait, il riait. J'ai dit You know what? I'm a 600,000. Ouais, j'étais comme Moi, comme consommateur, j'étais bien content de voir les Blancs dire Ouais, je t'ai vu, je t'ai vu, c'est raciste. Ouais, ouais. Comme Vous avez tous fait un souhait secret quand vous dire oh, tabarnak, oh What?

Speaker 2:

do you want me to tell you You feel me saying like? la réalité, c'est que tu sais, black is beautiful. Puis, moi, dans le fond de moi-même je suis élevé ici, moi, je vois le Québec, les Québécois, parce que je suis Canadien, mais je vois les Québécois, la nation qui s'affirme comme étant Québécois, comme étant un cousin lointain. C'est comme ça, je vois, je suis comme. Tu sais.

Speaker 2:

C'est quoi j'ai comme problème avec vos projets en général, c'est que vous avez 100% de personnes, fait que vous 100 personnes. Puis, à chaque fois que t'es en train de faire une équipe pour gagner dans le monde entier, bizarrement, par accident, vous avez juste choisi parmi les blancs. Mais à un moment donné, il faut que quelqu'un se dise fait que vous, là, les chefs d'équipe, vous dites oh oui, il y a un ingénieur au bord de la rue, un docteur au bord de la rue. Mais tu sais, va prendre mon ch confortable avec. C'est sûr que j'ai besoin d'un docteur et d'un ingénieur, mais je les connais pas. Là, je suis comme Moi, je pense pas que, peu importe le combat qu'on gagne ensemble, parce que je vois votre manière de travailler, c'est les losers qui fonctionnent. De même, votre projet, des fois, il m'intéresse pas. Pis, big Brother fait partie du projet. Pis, ça m'intéresse pas, et ça ne m'intéresse pas.

Speaker 1:

Je comprends Moi quand j'ai vu les extraits, je n'ai pas pu m'en sortir.

Speaker 2:

Je n'ai pas pu m'en sortir. Qu'est-ce que tu as trouvé drôle?

Speaker 1:

Toutes leurs larmes, Le fait que Moi je vois les deux personnes évincées. C'est eux qui payent les conséquences. Non, Oui.

Speaker 2:

Il y en a eu une. Finalement, pour être clair, il n'y en a qu'une. Oui, mais Fabiola a été sauvée. Après tout ça, ils l'ont ramenée dans la maison. Elle est dans la maison avec des gens parce que là, elle est partie en mode is this a black thing? puis là, tout d'un coup, elle est de retour avec la maison, avec les gens qui ont mis les noix dehors j'ai pas encore vu, mais je suis sûre que c'est elle, avec la maison, avec les gens qui ont mis les noix dehors?

Speaker 1:

Je n'ai pas encore vu, mais je suis sûre que c'est elle qui va devoir les réconforter pour leur dire que non, non, t'inquiète je sais que t'es pas raciste, non, mais j'ai compris que c'est parce que j'étais plus flauteuse que les autres. T'inquiète, il y a la possibilité que c'est ça.

Speaker 2:

Oui, oui, c'est sûr que ça va arriver, mais plus, si ça devient quelque chose qui dure plus d'une semaine, genre si elle est encore sur le bloc la semaine prochaine, quelque chose comme ça, ils vont être obligés de la faire gagner. Fait que tu sais quoi. You know what I mean. Non, j'avoue que les larmes. Dans la vidéo où j'en ai parlé, je disais vous êtes très apitoyés sur vous-même, mais il n'y a aucun de vos mots qui sont face à ce que ces personnes-là peuvent vivre. C'est la solitude dans laquelle ils sont de se dire là, moi, je suis une bonne personne Dans mon cadre professionnel. C'est un bail de célébrité. Je suis considéré comme top. Tu vois, de célébrité fait que je suis considéré comme top. Tu vois, je travaille fort, les gens me connaissent, me reconnaissent à un point tel que tu sais d'être un noir puis d'être considéré pour un truc comme Big Brother.

Speaker 2:

Célébrité, ça doit bien vouloir dire que je fais quelque chose de correct. Après tout ça, je suis encore juste un nègre Devant tout le monde. Tu vois, je veux dire c devant tout le monde. Tu vois, je veux dire c'est une chose. Tu te souviens comment tu avais honte quand ils faisaient les équipes, sachant que toi, tu es bonne au ballon chasseur, tu es vraiment bonne Pour les équipes, tu es dernier. Puis, toi, dans ton petit cœur, tu as un peu la honte. Tu as un peu honte, tu es un peuge adulte. Ça arrive encore devant la télé nationale Yo, c'est laid à mort man. Puis, je suis sûr qu'eux ne le prennent pas comme ça, parce que s'ils sont dans le show business, ils prennent des coups plus dur que ça tous les jours.

Speaker 1:

Ça, là, j'ai gagné toutes mes impros. J'ai jamais perdu une impro À chaque fois que j'ai fait gagner mon équipe. J'ai été dans des tournois. Pour la première fois de ma vie, j'ai gagné des rôles tournois Quand je reviens dans mon école dans aucune équipe. Les gens qui étaient à côté de moi et qui ont perdu toutes leurs impros sont montés.

Speaker 2:

Non, non, écoute, la seule affaire pour laquelle on t'aurait choisi. Si t'étais un homme, t'aurais vécu autre chose. Comme si, au basketball, les gens se battent pour ta gueule Même si moi j'ai jamais été capable de jouer correct de ma vie, je suis le pire joueur de basketball de toute ma vie Mais au basketball, ils ne te connaissent pas. Lui là, t-shirt bleu, il vient là, mais c'est la seule hostie d'affaire. C'est top. Non, je suis désolé que tu as vécu ça, naila, parce que je suis sûr que tu étais, je suis certain que tu étais something to be afraid of en impro. Je suis sûr et certain.

Speaker 1:

Yo, ils m'ont traumatisé. Maintenant, je suis traumatisé de l'impro. Là, il ne faut pas me mentir. Là, là, c'est une nouvelle troupe d'impro, sans commentaire pour ma présence. Je ne sais pas qu'elle n'est pas là, elle arrive en retard. Non, non, tu ne sais pas, je ne suis pas là.

Speaker 2:

Oui, est-ce que tu es la seule noire dans l'équipe? Tu es en train de nous faire une réputation.

Speaker 1:

Non, c'est une équipe qui s'appelle la minorité risible.

Speaker 2:

Tout le monde est noir, personne se pointe.

Speaker 1:

Non, non, arrêtez de dire ça On fait des matchs. on fait des matchs une fois par mois.

Speaker 2:

Je t'invite, je t'enverrai des billets. C'est pas là que je vais aller. C'est pas là que je vais aller.

Speaker 1:

Non pour vrai.

Speaker 2:

Non, non, pour vrai. est-ce que je veux venir voir un nouveau match? Je veux sentir le. Je connais rien de l'impro. je ne connais rien de l'impro, je n'en ai jamais fait, je n'ai jamais été intéressé. Je trouvais toujours des gens d'impro un peu weird. en vrai, ils le sont, oui, mais je suis humoriste et ils ne sont pas mieux.

Speaker 1:

C'est les mêmes gens.

Speaker 2:

Les humoristes regardent de haut les gens d'impro.

Speaker 1:

Oui, moi de mon expérience, tout le monde avec, mais c'est ça Je suis en train de dire que c'est les mêmes gens. Pas forcément, mais ce que je suis en train de te dire.

Speaker 2:

c'est comme le gars qui était là qui serait avec une belle-fille maintenant, tu vois Les gens qui étaient dans son ancien crew. ils les regardent comme des petites.

Speaker 1:

Ah, mais vous avez l'audace, les gars. Quand même, C'est pas le même art. Non, mais je ne dis pas que c'est le même art, mais je dis que si ils ont tous fait ça, pourquoi ils vont downgrade l'autre? Ils ont tous commencé là.

Speaker 2:

Parce que c'est comme ça. Il y a les gens qui sont plus.

Speaker 1:

Je revois les équipes d'impro avec qui j'ai fait des matchs aussi quelque chose.

Speaker 2:

Ok, si je me marie demain. Ok, oui, pour la centaine. J'ai fait jouer 150 numéros de couleur au Bad Boy. J'en ai côtoyé une bonne autre centaine plus. Tu vois dans mes. Tu sais, je suis à 8 ans de carrière. S'il y en a 10 à mon mariage, c'est beau, moi, you, moi, you know, c'est pas personnel à personne, c'est Les humoristes, c'est des gens spéciaux.

Speaker 1:

Il y en a dix parce qu'ils sont fâchés contre toi, ou dix parce que tu les invites pas.

Speaker 2:

Non, j'en invite, il n'y en aura pas plus que dix à mon mariage. Je suis en train de te dire. Puis, comme au moins 7 dans les 10 vont être connus, pas canadiens, ouais, les humoristes de Montréal, je te dis tout de suite, n'auront pas. Mais pas juste parce que après moi, j'ai commencé l'humour tard, fait que je suis un peu plus vieux que beaucoup de ces gens là, mais aussi les humoristes, c'est des gens, c'est du monde dark, bizarre. Tu sais, je dis souvent j'ai jamais vu une fille se rhabiller aussi vite qu'avec un humoriste, puis c'est pas comme. Mais quand il y a eu le Dubai de MeToo, en humour, il n'y avait pas de surprise pour moi, parce que j'ai jamais vu une fille voir un gars sur scène puis se dépêcher pour l'attraper en mode genre je veux tuer, puis moi, je le croise, je vais pisser.

Speaker 2:

Ça dure une minute et demie, 90 secondes, le temps de laver les mains. Deux et quart, je reviens. La fille est, comme elle a dit, maurice, c'est des bizarres, c'est des bizarres. Déjà, c'est pas des gens qui savent gérer les femmes. Il y a des exceptions, mais Maurice arrivait tard pour moi. Non, mais j'ai levé la main.

Speaker 1:

Il y a des exceptions.

Speaker 2:

Merci, Il y a des exceptions.

Speaker 1:

Merci.

Speaker 2:

C'est quoi? Non, c'est un peu comme le rap indépendant Il y a rien que des saucisses tout le temps. C'est vraiment Ouais, ouais. C'est-à-dire ambiance, rien que des gars tout le temps, tout le temps, tout le temps. C'est comme hé, moi, je viens d'une autre période, du hip-hop, genre tu sais, hip-hop, comment il s'appelle, tu veux expliquer? Moi, je fais avec les femmes dans mon quartier, tu sais, on filme la musique, moi, ça fait rire plein d'autres gars. Là, c'est quoi? C'est quoi? une fille qui couche avec tout le monde sauf toi, une pute. C'est de là que ça vient, cette affaire, là c'est top les gars faut arrêter non, non, c'est pas ça la blague.

Speaker 2:

La blague, c'est qui. Comment t'appelles une fille qui couche avec tout le monde, avec tout le monde, une pute? comment t'appelles une fille que chaque, tout le monde sauve-toi Un os, tu te putes.

Speaker 1:

Voilà, évidemment, Mais c'est ça, hein, Et puis la chose, c'est que bon.

Speaker 2:

Il faut être que des gars. il faut être que des gars pour que cette blague-là, quand elle sort de la bouche, elle fasse du sens. Tu peux même pas être dans un groupe mixte à parité, pis que tu y vas avec ça. Il y a des choses qui existent, de la même façon qu'on sait qu'il y a des choses qui existent que dans des contextes racistes, parce qu'il faut juste des hommes blancs dans la salle pour que ça marche, Comme une grande majorité d'hommes blancs. Même affaire.

Speaker 1:

En tout cas, sachez moi, personnellement, quand je fais mes petites blagues, c'est dans les événements qui s'appellent féministes, qui s'appellent juste des filles, qui s'appellent juste des travail du sexe. C'est pour ça que je suis bien là, je n'ai pas la prévention de penser que je peux aller parler devant le public de Mike Ward, c'est beau après tout ça encore vivante. J'aime que quand je dis la blague, les gens rient.

Speaker 2:

Et me lance pas une tomate non, je veux venir à une de ces affaires là ya, beaucoup prochain.

Speaker 1:

Je t'invite, je veux bien les affaires qui dit c'est trop, que c'est pas drôle. Mais pour moi c'est drôle.

Speaker 2:

Non, mais le mot, le mot là, à la base, c'est un bail de gens intelligents, c'est au sens où il ya de a de tout pour tout le monde. Mais Romane Frazinet dit quelque chose que j'adore. Il dit tu sais, les gens me demandent toujours si, comme, combien de femmes, combien de? tu sais combien, tu sais how much sex I get from being a famous comedian? puis, comme Les gens ne comprennent pas l'humour, l'humour de manière intéressante, ils sont comme Regarde, qu'est-ce qu'il a fait avec les mots. C'est ça, c'est pas un bail de lancer des culottes. Tout ça là, c'est pas, c'est pas ce genre d'ambiance-là, c'est vraiment ça, C'est vraiment ça en plus.

Speaker 2:

C'est ça.

Speaker 1:

C'est ça comme manière de le dire.

Speaker 2:

Non, franchement, c'est romantique, c'est beau, mais c'est cru, c'est vrai aussi.

Speaker 1:

C'est quand ton prochain show?

Speaker 2:

Moi, mon nouveau spectacle s'appelle Mouton Noir, parce que je commence à le tourner comme Montréal, toronto, ottawa. Je vais à France, suisse, belgique, là j'annonce les dates la semaine prochaine, puis Montréal, la rentrée, montréal officielle, je pense que c'est en septembre.

Speaker 1:

OK, j'ai une question qui n'a pas rapport avec toutes les questions que je t'ai dites que je voulais te poser aujourd'hui, mais Allez.

Speaker 2:

Mettons quand tu es sur scène versus quand tu es sur Internet c'est quoi la différence de ce que tu ressens quand tu fais ton contenu? Je ne ressens pas grand-chose sur Internet. Ok, Je ne sais pas comment dire, Parce que sur Internet, je fais de la prod depuis longtemps. J'ai travaillé en télé un petit peu, pas très longtemps, mais j'ai travaillé en musique longtemps. Puis on fait beaucoup de contenu vidéo en musique. C'est un monde que je connais depuis très longtemps, mais j'ai travaillé en musique longtemps. Puis on fait beaucoup de contenu vidéo en musique. C'est un monde que je connais depuis très, très longtemps. Puis, tu sais, c'est comme quand tu es dans un studio en train d'enregistrer, tu es comme je pense que la technique est bonne, puis c'est un réalisateur qui est là, tu veux le satisfaire pour que lui fasse son bout du travail, Mais tu sais, ils réagissent, Puis limite, toi, t'es ailleurs quand ça arrive.

Speaker 2:

Tu vois, je veux dire, je peux avoir du contenu viral que j'ai tourné il y a un mois, mais là, maintenant, c'est viral. Je suis content de la réception, je suis content, mais quand je fais de la scène, c'est automatique, Je fais rien. Tu sais, j'étais en tournée. J'ai fait deux dates en Martinique cette année. J'en ai fait d'autres dans le coin, mais la Martinique, c'est la même salle de soir d'affilée. C'est une salle qui fait 2500 personnes à peu près.

Speaker 2:

C'est comme la bibliothèque d'Anjou. Oui, fois 100. Moi, quand je quitte Montréal, je suis un artiste je me remets en question. Ça fait partie du délire. Je pense que je suis drôle. Mais c'est pas faux qu'à Montréal, j'ai un public et les gens viennent me voir, me connaissent. Mais quand je suis allé faire cette tournée-là, c'est une tournée où j'étais invité. Tout le monde qui est sur le plateau est connu, mais je me retrouve à être devant les femmes, de d'autres gens aussi, je sais pas. Je suis aussi dans un autre pays avec.

Speaker 2:

J'y vais avec des doutes, mais quand j'entends 2500 personnes tombé sur le beat en même temps de qu' il n'y a rien qui peut arriver en ligne qui compense, parce que c'est vraiment, c'est la plus belle, c'est parce que je veux dire c'est mon art et mes mots, c'est ma plume, c'est mon, c'est mon pince, c'est mon art, mes mots, c'est ma plume, c'est mon pinceau, c'est ça, mon art, c'est mes mots, c'est comment je les juxtapose. Mais c'est aussi la mélodie que j'utilise, le timing que j'utilise, le texte en lui-même. Mais quand je prends beaucoup de temps pour tricoter une blague, il y a un rire là, il y a un rire là. C'est la même chose que de me lancer comme ça dans la salle. Puis les gens qui rient, c'est quasiment genre ils ne me touchent pas, mais leur rire est tellement fort qu'ils me renvoient à ma place. Ça fait du sens à l'âge là. Aïcha, pardon À ce point.

Speaker 2:

Mais c'est vraiment un truc. Puis, ce feeling-là, c'est très proche de la meilleure expérience sexuelle. Tu peux avoir fait qu'il ya, ouais ça, ce que je fais chez moi, là, chez moi, les gens, c'est je parle avec une hausse, nouvelle, humoriste, sacré, bien commencé. Puis elle me demandait justement la même différence et me tient c'est comment la différence chez toi? puis, je, comme les gens ils savent pas que je suis timide, en vrai, hier soir, j'avais une gig. C'était un jeudi, sans trouver de moyens, il n'y avait pas beaucoup de monde. Je savais qu'il n'y avait pas beaucoup de monde, c'était en janvier, mais c'est aussi un jeudi, il faisait froid. Je commence à être vieux, j'ai mal au corps, toute laarrive, je suis comme. Puis, elle me pose la même question Là, c'est quoi la différence? Je dis mais chez moi, je suis seul, là, il n'y a personne. Là, j'ai des pantalons, mais je pourrais ne pas en avoir. Je suis seul, je n'ai pas à faire d'efforts, je n'ai pas attentes de moi-même pour ce qui va se passer là, parce que je suis un professionnel, j'aime ce que je fais. Puis, quand j'ai commencé, les gens m'ont dit c'est quoi ton objectif? je suis comme. Franchement, parce que j'ai commencé les Baboy Zuru en même temps, puis, j'avais beaucoup plus d'ambition pour les Baboy Zuru que j'en avais pour moi comme un étud, as a student of the game of the art form. Je m'attendais à ce que ça puisse me prendre 15 ans pour me développer assez pour être capable de faire une heure propre. Je suis parti avec ça. Ça se trouve, ça va me prendre 15 ans. Mais I think I like this, i think I love this, i wanna do this.

Speaker 2:

Hum, mais là, maintenant que je suis là où je suis, je non, perspective, perspective. Il n'y a rien qui m'allume tu m'as posé cette question. Il n'y a rien qui m'allume comme être sur scène, il n'y a rien qui m'allume comme de donner quelque chose à ça. Peut, hier, il y avait 10 personnes là. C'est pas une place qui en prend beaucoup plus là, mais il y a 10 personnes, il n'y a pas beaucoup de monde. Mais quand le riz revient, il goûte le même, il goûte le même que quand il est à 5000.

Speaker 2:

Parce que le doute que j'ai, moi, en tant qu'artisan, en tant que performeur, il ne change pas, parce que, comme on parlait déjà à Big Brother, là, personne, à moins d'être sadomaso, personne n'est là pour prendre des leds. Là, yeah, ça c'est l'extrême d'un bord, mais de l'autre bord, si t'es un professionnel, like someone qui est investi dans ton art, dans ta profession, ben, t'es là pour faire bien Fait qu'il y a 10 personnes, je veux que ces 10 personnes-là trippent leur vie. Puis ça, ça arrive. Then I did my job, i. Il y a le salaire qui vient. Ça, c'est une vraie affaire, mais ça, c'est un salaire qui s'achète pas. Ces mots-là, ils viennent de moi. Ces idées-là, elles viennent de moi. Ces images que je peins, elles viennent de moi. Puis, je les partageais avec des gens. Puis ils m'ont dit oui, i'm with you, i like that. Puis je les vois avoir du plaisir. Ah, c'est ma life, j'aime ça.

Speaker 1:

Bon, avant que je te pose les questions que je t'ai dit que j'allais te poser, je vais te dire merci à Eros et compagnie de sponsoriser toutes mes affaires, parce qu'Eros et compagnie, c'est une bonne compagnie.

Speaker 2:

Eros, moi, j'aimerais recevoir des choses aussi, eros, quand vous avez le temps, t' t'as dit quand vous avez le temps, quand vous avez le temps, je suis plus jeune, je suis plus jeune, faut se dépêcher les gens qui goûtent l'épisode.

Speaker 1:

Ça est gentil. Laissez des commentaires, partagez, likez, allez chez Ross commander. Quand vous utilisez le code promo BGFL15, vous avez 15%. Quand vous aurez été bien gentil, moi, selon votre réponse, je vais envoyer un cadeau à Renzi. C'est quoi Après ça? quand vous aurez été bien gentil?

Speaker 2:

moi, selon votre réponse, je vais envoyer un cadeau à Renzi. Tu sais quoi? C'est un long chemin à faire, mais c'est un chemin que j'aime bien. BGFL, 15. Eros et compagnie, ça dit, tu sauves les taxes. Je veux dire, depuis ce temps-ci, le 15,. il fait la différence, mon chum, un 15, un 15, un 15. Quelques 15 pour 1, oui. C'est le jouet du jour que je vais vous présenter.

Speaker 1:

Il s'appelle le Dynamique. Eros et compagnie vous présentent le Dynamique, aussi joli qu'efficace parce que c'est vrai qu'il est cute quand même. en tout cas, moi, je l'aime bien. Aussi joli qu'efficace, vibrations hors du commun. vous atteindrez l'orgasme très rapidement avec cette petite merveille. je vois qu'ils ont des doubles stimulations. Je vais arrêter de le brandir avant que je sois flaguée. mais double stimulation dans le sens de à l'intérieur et à l'extérieur, moi, c'est ce qui me fait atteindre l'orgasme le plus rapidement possible. Donc, si jamais tu es quelqu'un qui aime la pénétration et la stimulation externe du futurisme, c'est quoi ton?

Speaker 2:

joueur préféré.

Speaker 1:

C'est un qui ressemble à ça, mais qui s'appelle le performant ah oui, oui, c'est pas celui qui a un tapeur là-dessus ici, ouais, ça fait comme je rêve. Mon seul problème avec lui, c'est parce qu'il me fait venir trop vite si tu veux passer du temps, non, parce que des fois tu veux pas juste finir en une seconde des fois oui, c'est ça des fois quand je veux faire, pas juste finir en une seconde.

Speaker 1:

Des fois Oui, c'est ça Des fois quand je veux faire plus qu'une seconde ou que je veux être avec mon partenaire. Pour que mon partenaire fasse quelque chose, je prends le Magic One Si le partenaire est à l'intérieur et j'ai le Magic One par-dessus là, c'est partenaire, c'est rose, moi qui, moi qui travaille en part.

Speaker 1:

On conseille que la rose, ça, ça peut se passe après l'équivalent du performant. Dans le fond, c'est rennes le performant au lieu que j'envoie et roche et toi, si je peux juste te chipper chez moi Un jour ça va peut-être arriver. oui, Le dos. il m'a dit Ah, c'est comme ma soeur, J'ai compris que ça n'allait jamais arriver.

Speaker 2:

Non, mais c'est vrai, Mais t'es pas, ma soeur. Non, mais je te dis c'est pas faux, c'est pas faux, c'est pas faux. Moi, j'ai un instinct protecteur, comme un grand frère avec toi, mais je suis pas ton frère même.

Speaker 1:

Vous avez compris les gens à la maison. Il y a de l'espoir. Vous êtes pour moi. Il y a de l'énergie, papa je pense que oui mais pas avec moi, oui, c'est pour ça.

Speaker 2:

Je suis le truc de protecteur de sa grande. C'est un peu ça. Les gens que j'aime, bien, je suis comme ça. Puis, souvent, les gens qui m'aiment pas, tu remarqueras, ils ont des relations avec leur père. Ils n'ont pas de père, ils n'aiment pas leur père. Le père n'était pas là. Il y a quelque chose. Il y a quelqu'un qui m'a dit que son plus grand problème, c'est que je traitais les gens qui évoluaient dans les bad boys comme des petits frères, des petites sœurs. Ce n'était pas de mes affaires. Un noir qui m'a dit ça.

Speaker 1:

C'est bizarre.

Speaker 2:

Oui, tu le connais bien.

Speaker 1:

Est-ce que je veux savoir?

Speaker 2:

Est-ce que ça changera quelque chose?

Speaker 1:

Je connais bien La façon que tu dis. Je connais bien bien. C'est comme si mon ami.

Speaker 2:

Je pense pas que j'ai d'amis c'est pas ton ami, mais c'est quelqu'un avec qui tu as minimum d'une relation d'affaires, au moins une à d'accord.

Speaker 1:

Cette relation se termine en plus d'offres ah, ouais bah, tu vois pas que je suis ici.

Speaker 2:

Ah ouais, il ya plus de temps pour vous Écoute, c'est un peu compliqué.

Speaker 1:

Je n'arrive pas à comprendre la situation. En fait, c'est une situation compliquée. Je vais laisser l'origine gérer, parce que, bon, c'est ça, ce n'est pas tant moi qui ai une relation, c'est plus l'eau, je vois, je vois, moi, je fais juste recevoir les messages, je vois je, je fais juste recevoir les messages, n'est-ce pas?

Speaker 3:

Je t'entends Je t'entends, j'ai compris.

Speaker 1:

Moi quand on me voit des messages. des fois je comprends bien, des fois je ne comprends pas.

Speaker 2:

Il y a des heures que je ne préfère pas partager avec des gens, même si les gens étaient là des heures avant. Si on est au même endroit, moi je suis pas au bon endroit.

Speaker 3:

True, true.

Speaker 2:

Ça me va.

Speaker 1:

Je viens de réaliser. en plus, j'ai dit tu vois que je suis là, mais même toi t'es là, sinon toi non plus, t'aurais pas été là.

Speaker 2:

Oui, en effet, en effet.

Speaker 1:

Juste le fait que cet épisode se peut En effet.

Speaker 2:

En effet, en effet, tout ça, c'est incroyable. C'est vraiment un truc où, tu vois, il y a un organisme noir avec qui j'ai investi depuis 3 ans et demi, 4 ans, là, dernièrement, puis, j'ai appris que je n'étais pas bienvenue dans leur spectacle parce que, parce que, parce que moi et mes amis du show business, on bloque, personne ne vient chez toi si lui. Après, quand ça s'est arrivé, ça m'a fait mal humainement, parce que je suis comme ah, tu sais, ça fait des années que j'investis dans un réseau pour les gens qui me follow, pour monter des choses ensemble, faire des choses ensemble. On a ramassé beaucoup de sous ensemble pour des gens qui en avaient besoin, on a fait beaucoup d'awareness ensemble, mais non, ça on l'a fait ensemble. Là, cette personne-là, elle vient pour faire un spectacle, puis elle dit ouais, moi, si tu travailles avec lui, moi je C'est quelque chose qu'on n'a pas relu à voix haute.

Speaker 2:

Non, j'ai pas envie de faire de la publicité. Cette personne-là va tomber quand ça va être son temps. Moi, j'ai pas envie de m'amuser de ça. Ça m'a aussi fait un truc, genre, je pose beaucoup sur mon activisme, mon outwardliness, parce que il faut que je reset. Il y a longtemps, je disais on n'est pas tous dans le même syndicat. Mais en ce moment, je suis comme c'est pas tout nous qui est le même, nous, genre, moi, j'ai souvent eu un faible pour les gens, au sens où je disais souvent tu sais Montréal, ce que beaucoup de mes frères montréalais souvent, montréal, ce que beaucoup de mes frères montréalais souvent, ce qu'on a en commun, c'est d'avoir tous été des enfants d'immigrants et de comprendre ce qu'est être dans ce pays froid Et que nos parents ne comprennent pas la réalité du pays. C'est une réalité commune. Pour moi, ça commençait comme ah, aïe, aïe, aïe, tu sais quoi? on voit, je ne sais pas, mais je te laisse rentrer chez moi, je te laisse rentrer dans mon cercle, tu es le bienvenu, tant qu'eux. Mais aujourd'hui, je monte les barrières, je laisse rentrer au compte-gouttes, parce que moi, je suis le genre de partenaire si t'es proche avec moi, tu vas monter avec moi.

Speaker 2:

Mais aujourd'hui, j'ai donné beaucoup de chance à des gens qui, je reconnais, ne comprennent pas la valeur de ce que j'essaie d'investir en eux. I'm tired. J'investis sur moi. C'est correct. Ce n'est pas tous nous qui aimons nous. Je vais aider moins de nous, mais les nous que j'aime. Quand on est en haut ensemble, on va pouvoir boire ensemble et être bien ensemble.

Speaker 1:

Tu vois ça là, c'est une affaire qui me tue. Sur les réseaux, on dirait que tout le monde aime ça, dire la voix à voix haute, qu'ils veulent que tout le monde gagne, ils veulent qu'il y ait plus que juste un noir au sommet. Mais quand tu regardes les actions, ça ne fuit pas avec l'idée que tu vas avoir un jeton, mais tu agis comme si ça devait être toi ou personne.

Speaker 2:

Non, mais moi, quand je suis rentré dans le game, ils m'ont dit lui, ce gars-là, c'est le guy right now, moi je suis le next. Puis après ça, on a déjà décidé c'est qui le next après ça. Puis il n'y a personne qui va dé gens de cet ordre, on le détruit. Quand Bad Boys du Rire arrive et forme 150 noirs en même temps qui, peut-être, vont devenir le prochain appel, c'est un danger. C'est des gens qui voient en ça leur place comme étant le premier noir à appeler. quand, finalement, on se dit ce serait bien un noir appelle-donc.

Speaker 2:

Mais si les gens se mettent à appeler, appelle-donc quelqu'un chez Bad Boy, puis qu'ils nous envoient leur meilleur. Ça tu vois, c'est. J'ai dit directement à une de ces personnes à un moment donné toi, t'es seulement Black Lives Matter quand ça commence par toi.

Speaker 1:

Yeah.

Speaker 2:

C'est Black Lives.

Speaker 1:

Matter, mais Black après.

Speaker 2:

Non, black après. Non, je veux dire tous ces gens-là, depuis que je fais les télétons, les marathons, les levées de fonds, les Mamadi Camara, les Pacifique à Québec, c'est pas des gens qui ont levé même un petit doigt pour du awareness, pour ramasser de l'argent, mais c'est du monde avec des réseaux. Mais maintenant, c'est correct, t'es pas obligé d'aider ce que moi je fais, mais toi, tu fais quelque chose, parce que moi, je peux chercher au grand merci, je vois rien. La seule chose que je vois là, c'est que t'es rentré là où j'étais, t'as dit ouais, maintenant je suis arrivé, je veux travailler avec vous, mais il faut que vous mettiez Renzel dehors.

Speaker 2:

Moi, je suis juste une personne. Moi, quand jeest du temps, c'est de mettre mon horaire, de ne pas mettre des shows à peu près dans les mêmes dates pour ne pas compétitionner des trucs. Moi, de me départir de responsabilités que je sentais que j'avais dans des affaires philanthropiques tu viens de me dégager Mais, humainement, de savoir qu'il y a des négros dans ce système qui préfèrent couler comme ça que de monter ensemble, on n'est pas proche de gagner, on n'est pas proche.

Speaker 2:

Mais je suis troublée que même que le groupe, que l'endroit accepte non, l'affaire, c'est que quand moi je les ai trouvés, c'était des personnes et des riens qui ne pouvaient que bénéficier de la mise en avant, au sens où c'était tous des professionnels qui travaillaient fort. Mais le awareness dans la communauté, l'automatisme des gens de dire ces gens-là sont sur ce dossier-là parce que moi je relais cette information-là, ah, allez voir, ces gens-là, ces gens-là sont sur le dossier. Je fais des trucs, je fais des, mais moi je fais un million. Je fais entre un demi-million sur les mois bas à deux millions d'impressions par mois. Si tu fais partie de mon algorithme, sachant que je parle surtout à une clientèle très spécifique, quand moi je parle, tout d'un coup, ça fait réagir des choses. Quand on est capable de ramasser 50 000$ pour Mamadi en pas longtemps, on est capable de ramasser 30 000 $ pour Pacifique en pas longtemps.

Speaker 2:

Je n'ai pas fait le travail de ça. Il y a bien des gens qui aident, mais c'est chaque bout de l'engrenage. Moi, je fais un parti important parce que je fais partie de la colle qui t'a aidé à ramasser beaucoup d'affaires depuis le début. Peut-être que, peut-être que c'est whatever it is, mais j'ai dit à la personne avec qui je suis en contact moi, je sais, ces gens-là, c'est des gens qui sont allés à Radio-Canada ou Bad Boys dire la même chose. C'est des gens qui sont allés voir tous les producteurs qui les écouteraient. Puis, certains d'entre eux, c'est des amis. C'est des gens qui ont choisi de pas, au sens où, imagine quelqu'un que Imagine Naila. Quelqu'un t'appelle pour n'importe quoi, puis tu dis ouais, ça me fait plaisir de faire la gig, mais ça n'a pas un rapport. Puis, tout d'un coup, tu dis sauf que si Renza d'Washington est contactée, enlevez-moi de la gig. Imagine, la personne ne s'est même pas choquée.

Speaker 1:

Ces gens-là, ils font ça. Mais ouais, j'ai pas besoin d'imaginer parce que ça m'est déjà revu. J'ai déjà eu des contrats que je me suis rendue sur place. Puis, sur place, ils m'ont dit oh, finalement, ils ont changé d'avis puis je me suis dit plus tard que c'est parce que quelqu'un qui était là a dit que bon, muriel Châtelier, tu vois qui c'est.

Speaker 2:

Je ne peux pas me dire son nom. Je l'avais dit déjà.

Speaker 1:

Oui, on l'avait vu une fois, je ne me souviens plus. C'est qui déjà?

Speaker 2:

C'est Madame, journale de Québec. C'est Mathieu Bocoté, femme Noire de Québec. Oui, oui, oui, comme il n'y a pas de racisme au Québec, de quoi vous parlez. Mais elle, quand, l'humoriste qui voulait aller en politique, guy Nantel, faisait une série par rapport à son nouveau spectacle, et on ne peut plus rien dire. Je reçois un appel d'une recherchiste qui est comme Ah, guy Nantel, il y a un moment, tu vas s'asseoir avec toi pour parler de certaines choses, et tout. Puis moi, quand il m'appelle, je suis comme Ah, je ne sais même pas, j'ai envie, tu sais quoi? pour lui dire que non. Elle me dit ah, non, c'est correct, parce que Muriel Châtelier. Elle a dit oui, puis elle a dit que si elle vient, seulement si toi t'es pas sur le plateau, je sais même pas, c'est qui. Quand elle m'a dit son nom, je sais même pas c'est qui.

Speaker 1:

Le backstabbing est backstabbing, hein.

Speaker 2:

Pour moi, je sais même pas une question de backstabbing. Pour moi, je ne sais même pas une question de backstabbing parce qu'on n'était pas des amis. Mais par contre, moi, je veux savoir c'est quoi le nom de tes parents, je veux savoir c'est quoi le nom de tes oncles, tes tantes, parce que moi, j'ai été élevé dans une culture haïtienne qui ne respecte pas ce genre. Que vous êtes cool avec ça, parce que les Québécois, ils se font des choses comme ça, c'est bien. Mais quand tu rentres à Noël, toute ta famille va te regarder Croche, parce que eux, tout le monde va savoir qu'ils sont ta famille et que c'est le genre de gens noirs que vous êtes. Donc, quand c'est le temps et que les gens sont comme qu'est-ce, on n'arrive pas, mais quand toi, tu avais une chance de faire quelque chose, mais c'est pas important pour tout le monde de rentrer dans le hood, pour moi, ça l'est, puis pour d'autres ça l'est aussi, puis moi, je préfère congréguer avec ces gens-là on dirait que c'est parce qu'en fait moi ce qui me tue dans ce genre de trucs-là.

Speaker 1:

C'est comme si on les écoute comme ça, là, s'ils ont tant de voix comme ça, ah oui, si un tel vient pas, je viens pas. Tu comprends pas l'autre personne.

Speaker 2:

Frédéric Pierre. Voilà un autre. Frédéric Pierre, je peux dire son nom. Je l'ai déjà dit sur Internet.

Speaker 1:

Pourquoi il commence avec les agresseurs. Tu comprends Pourquoi quelqu'un que tu sais, qui a violé des gens à gauche, à droite. Pourquoi, lui, tu dis pas s'il vient, je viens pas.

Speaker 2:

Non, c'est pire encore Quand toi, en tant que personne noire, you can fix your face to say that about another person black person but I've never heard you say that about a racist. Là on va parler de tes premiers intérêts. Toi, frédéric Pierre, a jamais dit je travaillerai pas si un blanc se pointe pas sur un plateau, jamais OK. A jamais dit parce que c'est un raciste. A jamais dit je me présenterais pas si un gars qui a des accusations d'agression sexuelle va se pointer. Mais un noir qui n'a pas de problème avec le gouvernement, son seul problème, c'est que you don't like how much I love my own blackness. C'est correct. Moi, le vaudou, ça ne concerne que les concernés. Moi, j'ai des grands-parents qui veillent sur moi. Je ne sais pas, je ne suis pas inquiet, je ne suis pas inquiet.

Speaker 2:

Regarde là où je suis. Imagine, il y a des gens. Je regardais sur TikTok. On peut te dire d'où vient des fois. Imagine, là, il y a des gens. Tu sais, je regardais, tu sais, sur TikTok, on peut te dire d'où vient. Tu sais d'où vient le trafic d'une vidéo pour toi, tu sais. Puis, je suis allé voir, puis, tu sais les gens. Ils googlent mon prénom. Tu sais, ils cherchent mon prénom. Tu sais, je ne suis pas à la télé de personne, je ne suis pas dans la radio de personne, mais je suis rendu dans un endroit parce qu'au Québec, là, ils ont une manière très particulière de sélectionner les types de Noirs avec qui ils veulent faire affaire. J'ai réussi à faire de moi et de ma présence Une où est-ce que, juste avec mon prénom, tu sais ce que je suis, what I'm about, what I defend? Maintenant, frédéric Pierre, tu peux dire son nom au complet. Je ne sais pas ce que ça donne. C'est quoi le nom de l'autre là?

Speaker 2:

Je me dis bon, Mireille Châtelier, Tu vois, je dis I don't know, c'est ton gars ça Je ne le connais pas, mais c'est pas gentil, Frédéric, parce que non, je voulais jouer dans la K&N.

Speaker 2:

Non, c'est pas, t'es trop sale pour des gens comme lui. C'est des gens qui voient les gens comme ça au sens où, tu sais, genre, ouais, je vais juste dire ça, t'es trop sale, moi, je suis trop sale, l'eau est trop sale, tu sais, au sens où It's not about Being black is not enough. You have to be an acceptable type of black person. Tu sais, je dis, j'aimerais te dire que c'est le genre d'eux, mais c'est une vraie affaire, que moi, tu sais, moi, j'ai un mur de lunettes là, ok, celle-là, il y a de la force dedans, ok, j'en ai d'autres qui ont de la force dedans, mais tu peux pas avoir, attends, 1, 2, 3, 4, 5, 6, fois 1, 2, 3, 4, 5, ok, Mais avoir 30 lunettes sur un mur, puis toutes ont de la force, je veux dire, j'ai beau avoir de l'argent là, j'ai des limites.

Speaker 2:

Mais la raison pourquoi je dis ça, c'est que, des fois, quand je vois quelqu'un de loin, je vois pas c'est qui. Je fais juste par respect. Tu vois, je vais dans un événement, il y a juste un noir, j'envoie la main, mais je vois sur le visage la personne. C'est un problème, lui, mais that's not what black people do. Mais moi, je voyais pas c'était qui, puis, même si j'avais vu, c'était qui, comme lui, même pas depuis Slav, parce que lui, c'est lui qu'on avait invité pour aller à tout le monde en pape qui a dit non, slav, il y avait toutes les raisons. Je trouve que c'est une belle chose de faire que des personnes blanches jouent des esclaves du temps des États-Unis. Puis, tout après ça, il s'est mis à travailler tu sais quoi?

Speaker 1:

c'est peut-être l'inspiration de Patrice dans le fond.

Speaker 2:

Patrice c'est qui?

Speaker 1:

le gars qui t'a rappelé Mathieu, puis Olivier dans le live? ah, ouais ouais, non, je l'ai appelé il était pas déguisé en esclave, non, il était déguisé en slave.

Speaker 2:

Je comprends l'inspiration c'est possible, c'est fort probable. C'est fort probable. Non, fait qu'après je veux dire la personne que je suis, genre I want you to be all the black you want to be. You feel me saying Like even a self-hating black? c'est-à-dire que nous, nos ancêtres, ont payé un prix qui paie le passage pour tous les autres derrière You want to be all the self-saving black you want to be. c'est une chose, mais arrête de t'usurper comme un représentant d'une communauté que tu ne côtoies même pas. Tu vois genre dans ta vie à toi un homme noir avec une femme noire. c'est une fiction.

Speaker 3:

C'est tough.

Speaker 1:

C'est tough.

Speaker 2:

J'attends encore qu'il y ait une scène avec une femme qui a Comment ils appellent ça, tu sais, les bonnets que les femmes portent sur la tête. Tu vois, dans ma casque, elle n'a pas dans la casque à nous. C'est trop sale, c'est trop sale.

Speaker 1:

C'est méchant.

Speaker 2:

Ce n'est pas moi qui ai dit ça, c'est méchant. C'est pas moi qui ai dit ça, c'est le partner qui a décidé de ne pas en mettre. Moi, je porte des bonnets. Moi, je porte des bonnets. Je ne peux pas me dire que c'est méchant. Moi je porte des bonnets, entre autres parce que j'essaie d'encourager toutes les femmes noires qui, je sais, il y a un message constant de dire yo, retirez cette aff, ça fait là les pas publics. Et on, tu vas voir public en plein jour. Moi, d'été, avec mon bonnet sur la tête à un guébord, parce que des femmes à tête est pas prête pour le public, et du 6 mois, des dés picot ni gable à guégar, en décembre de la, j'ai mis ça là, j'ai mis ça sur mon. La tête n'est pas bonne. La tête n'est pas bonne c'est devenu musulman tu peux prendre.

Speaker 2:

Tu peux prendre l'anglais. Tu peux prendre l'anglais tout de suite oh, mon dieu, l'onglet.

Speaker 1:

Tu peux voir l'onglet tout de suite. Oh, mon Dieu, c'est seulement.

Speaker 2:

Non, mais tu comprends la tête d'un barbon là. Si je devais faire quelque chose, peut-être le bonnet, c'est la meilleure chose que je puisse faire.

Speaker 1:

True, ou une soukira, c'est compagnie.

Speaker 2:

Ouais, mais moi je ne suis pas payé pour ça.

Speaker 1:

Ben, moi oui, Oui.

Speaker 2:

Mais si vous m'envoyez des affaires, je vais mettre là-dessus. Je vais mettre là-dessus. Là, est-ce que je peux dire un secret?

Speaker 1:

Aïcha, c'est vrai que tu vas dire dans le podcast right, Tu sais que tout le monde va entendre Ouais, ouais, ouais.

Speaker 2:

Là le micro que je tiens là, c'est un handicap.

Speaker 1:

Comment ça le micro que tu tiens, c'est un handicap.

Speaker 2:

Au sens où mon micro à moi, il est là, mais j'ai juste préféré cette manière. J'ai juste préféré cette manière, j'ai juste préféré cette phrase j'ai vraiment crampé.

Speaker 1:

Et puis tu dis ça l'autre jour j'ai fait des, des vidéos pour ma chaîne, pour ma chaîne et puis pour mon insta que j'ai mis mon cell devant moi, puis qu'on voit le micro. Ici, le micro est pas branché, le micro du cell, c'est mieux.

Speaker 2:

Moi, j'ai l'impression, j'ai l'impression que t'as des jokes ASMR en teco en teco allô comment on fait pour devenir réalisateur de vidéos X.

Speaker 1:

Je pense que tu fais juste postuler dans les boîtes de production.

Speaker 2:

Tu vois, je pense que je vais faire ça. Moi, je veux avoir une composante X à côté de humoriste.

Speaker 1:

Il y a beaucoup de gens qui commencent en étant acteurs, puis qu'ils évoluent parce qu'ils connaissent les gens, mais je pense que si tu vas sur leur site, tu peux réaliser des films. Je sais pas, par exemple, si au Québec, les compagnies de production en ont plus que un ou deux, mais peut-être que les compagnies qui sont plus anglophones dans le reste du Canada, au lieu d'avoir quelqu'un de Toronto qui vient filmer des films à Montréal, il prendrait des gens directement à Montréal.

Speaker 2:

Franchement, moi j'ai quand même 20 vidéoclips à mon actif en tant que réalisateur.

Speaker 1:

Mais voilà, tu peux réaliser des films.

Speaker 2:

Quand même Ça, c'est facile. Je veux dire, j'en ai fait quelques-uns indépendants. C'est pas pour la consommation publique, mais Tu lances ta propre affaire.

Speaker 1:

Tu lances ta propre affaire, tu fais une annonce, tu cherches des actrices et des acteurs.

Speaker 3:

Non.

Speaker 2:

Comment ça non.

Speaker 1:

J'ai besoin d'une équipe, oui, mais tu lances ton équipe.

Speaker 2:

C'est ça que tu dis. Non, la vérité. J'ai aucun intérêt de Je ne sais pas à quel point il y a de l'argent à faire dans le X Je n'ai pas aucun intérêt de partir ma boîte et faire des films, mais d'être payé pour être réalisateur. C'est comme un challenge, j'aime bien.

Speaker 1:

Je comprends ce que tu veux dire. Bonne question. Moi, en tant fait, la crise, ça n'a rien, je suis juste tout seule avec ma caméra. Je suis correcte, tu fais pas des arrêts avec des gens, des fois, jamais, ah non, toujours seule. Je veux dire, j'ai deux collabs, c'est deux fois que le même gars, à deux ans d'intervalle. Pourquoi Tu n'arrives pas à trouver des collabs. J'ai peur des gars.

Speaker 2:

Ah, pis les filles.

Speaker 1:

Oh.

Speaker 3:

Quoi.

Speaker 1:

J'ai peur des gars.

Speaker 2:

Pis les filles, on fait du contenu là la fin de la journée.

Speaker 3:

non, Oui So.

Speaker 1:

Je suis gênée avec les filles.

Speaker 2:

Oh, là faut choisir, là Faut choisir.

Speaker 1:

Mais c'est bon, ça se fait du solo.

Speaker 2:

Oh my God, c'est compliqué ton affaire, c'est pas compliqué.

Speaker 1:

Mais tu vois, j'ai deux collabs avec deux filles qui s'en viennent Ce mois-ci. L'affaire, c'est que, pendant longtemps, moi, j'avais, moi là, je vois tout ce que tout le monde font sur le hub et sur Twitter. Je ne ferai jamais tout ça la gang. Il y a des limites à ma vie. Je dis sex-wicky, oui, mais je suis très, très vanille. Tout ça, ce n'est pas pour moi.

Speaker 2:

Mais là tu parles de quoi?

Speaker 1:

Des affaires de base que je ne veux pas faire Des gros plans. C'est tout pour moi. Juste imaginer un grand écran avec ma plume en large. C'est beau, c'est beau, pour vrai.

Speaker 1:

Oui, c'est pour moi. Les gars, les filles, tout le monde s'assoit, ça fasse à tout le monde. Je suis, comme Tu peux voir ça sur caméra la gang. C'est trop pour moi. Mais j'ai appris récemment que numéro un, comme c'est du cinéma, évidemment pas tout le monde fait tout, c'est correct. Mais j'ai appris que je n'étais pas obligée de faire tout ça. C'est quand je parlais à des filles pour collab. C'est comme, on peut juste prendre des jouets et être une avec l'autre, une proche de l'autre, on n'est pas obligé d'être une assise dans la face de l'autre. J'étais comme C'est beau fini, mais c'est vrai, je peux tout faire, parce que je peux pas faire ça dans les organes de personne. Ça va, je vais survivre, je sais hein.

Speaker 2:

On apprend tous des choses. Aujourd'hui, spécifiquement, moi, j'ai appris des choses. J'aurais pas pensé ça. Tu vois, j'aurais pas pensé tout ça.

Speaker 1:

Penser quoi.

Speaker 2:

Tu sais? je veux dire que ta limite était si tôt dans le game.

Speaker 1:

Oui, très, très tôt. Oui, très, très, très, très tôt, Très, très, très, très, très, très tôt, très, très, très tôt. Même mes clients, dans la vraie vie, ils sont tellement soft. Même Anna ne les demande pas. Je te dis ils sont soft, soft, soft. Ils veulent des petits blowjobs, des petits câlins, un petit peu de sexe, C'est tout. Il y a personne qui me parle de kink, il y a personne qui. Je n'ai pas de demande.

Speaker 2:

C'est parce que toi ou parce que me font pas cette demande, en fait. Donc, toi, tu n'inspires pas ça au monde.

Speaker 1:

Oui, c'est ça. Je ne leur ai pas dit non, je ne vais pas faire, je n'ai pas la demande, je n'ai même pas le temps de dire non.

Speaker 2:

Tu as déjà eu des gens qui t'ont demandé de faire du slave play.

Speaker 1:

Non non, Jesus Christ. Non, On m'a déjà, par exemple, demandé comment ça s'appelle à la webcam. Est-ce qu'eux peuvent faire le n-word? Ça, c'est ma limite. Fait que je suis comme non, tu ne peux pas. Je sais, il y en a qui posent la question. Maintenant, mon problème est mon problème est le problème, en fait, de ce que je vois est dans vos mains. Ok, les gars, parce qu'à chaque fois que j'ai entendu une histoire qu'un client voulait se faire traiter en esclave et se faire traiter du n-word, c'est un homme noir qui demande ça à une femme blanche pour vrai.

Speaker 2:

J'ai vu un bac comme ça sur internet.

Speaker 1:

Je pensais que c'était une blague non j'ai beaucoup de mes amis qui ont eu des clients. Ils leur demandent ça. Moi, ils ne vont pas me demander ça, ça n'a pas de rapport. Tu comprends, Hein?

Speaker 2:

Mais ouais, attends, fais pause, Fais pause. C'est comme j'ai besoin de faire le deuil de ce que tu viens de dire là. Moi, j'ai vu une sex worker, femme blanche, dire ça sur Internet. J'ai skippé, je pensais, j'ai mis ça pour plus tard pour rebondir là-dessus. Est-ce que tu peux me présenter ces personnes?

Speaker 1:

Non, ce ne sont pas mes clients.

Speaker 2:

Non, mais tu connais les sex workers.

Speaker 1:

Oh, mais je ne pense pas qu'ils En tout cas les miennes quand ils m'en parlent, c'est parce qu'ils n'ont pas dit oui. donc, je ne pense pas qu'ils vont être à l'aise de parler de ça.

Speaker 2:

Oui, mais bon, même même ceux qui ont dit non, je veux comprendre. Non, je veux qu'elle m'amène plus proche de cet individu que je l'ai ever été. Comment tu es rendu là? Je veux savoir si c'est Francis. Je veux savoir si c'est les gens dont on a parlé, parce qu'il doit bien y avoir une corrélation.

Speaker 1:

Non, mais parce que c'est un king d'humiliation.

Speaker 2:

C'est pas Martin Luther King qui s'en va voir des femmes de sex workers blanches pour du traitement en esclave.

Speaker 1:

Je sais pas. Mais comme je te dis, c'est une affaire de Je travail, c'est lui le gérant. Je ne sais pas pourquoi. Après ça, ils veulent la soumission totale. Moi, c'est des hommes blancs qui me demandent de les envoyer chier. Aussi, tu comprends De les traiter comme si les blancs sont inférieurs aux noirs. des choses de même.

Speaker 2:

Tu fais ça.

Speaker 1:

Oui, j'adore ça, ok, puis explique-moi À la base.

Speaker 2:

C'est quoi leur plaisir à eux.

Speaker 1:

C'est de se sentir inférieur Pendant une heure.

Speaker 2:

Mais est-ce que toi t'es capable de pinpoint, genre, c'est comme, c'est quoi qui allume, tu sais, parce que moi, de me sentir inférieur, ça me fait pas bander, comprends-tu.

Speaker 1:

Dans la vraie vie, ils ne sont pas dans la position inférieure, c'est juste pour changer les rôles. Tu sais, de la même façon que moi, mon expérience, c'est que dans la vraie vie, je marche comme ça, à voix haute, mais quand j'arrive, à la maison.

Speaker 2:

C'est des extrêmes. Ce n'est pas une comparaison qui fait sens, parce que ce ne sont pas les mêmes extrêmes. Je sais, parce que je peux t'humilier sans pour autant te dénigrer ou dénigrer toute ton humanité, which is what this whole slave shit is. Là, il y a le chien qui est là. Le chien est en meilleure position dans le cas que toi, esclave. Tu comprends Ce n'est pas la même chose.

Speaker 1:

Je comprends ce que tu me dis. J'entends ce que tu me dis. Je ne sais pas ce que tu fais chez eux, mais il y en a même là. Ils veulent que tu leur chies dessus et qu'ils mangent Comme ils veulent. Des affaires dégueulasses.

Speaker 2:

Jusque-là, je suis avec toi. Je suis juste en train de te dire C'est plus loin encore dans la soumission.

Speaker 2:

Même le gars, même le gars noir qui est soi-disant, on est au Québec, il faut le trouver. mais le gars qui est soi-disant powerful, de même, et qui a besoin qu'une femme lance, moi je ne crois pas, mais je vais suivre le truc. Au Québec, il y a beaucoup, semblerait-il, de ces demandes. parce qu'il y a, semblerait-il, beaucoup, est-ce que c'est les frères de qui on parlait en début de podcast, et c'est les quelques-uns qui sont là qui ont besoin de faire faire en privé ce qu'ils ne peuvent pas aller jusqu'à la fin. même dans ta vie où t'es une personne puissante, t'es toujours un nigger. Tu n'as pas besoin de fantasiser ça. Tu n'as pas besoin d'un sex worker pour faire ce que tu n'as pas dans l'autre vie, tu l'as dans l'autre vie.

Speaker 1:

Donc explique-le-moi, Ce n'est pas à propos de ça. Tu vois, eux, je ne pense pas qu'ils demandent juste aux sex workers. Je pense qu'ils aiment juste ça pour eux, Mais je pense pas qu'ils demandent ça juste aux sex workers. Je pense qu'ils demanderaient ça à n'importe quelle blanche dans la rue.

Speaker 2:

Si il y a quelqu'un qui regarde ce podcast et qui a de l'information pour moi, s'il vous plaît, en privé ou en pod, une réelle curiosité. C'est même pas un bail où je veux insulter les gens. Je veux me rapprocher de cet individu. Je veux avoir une meilleure compréhension de cet individu. J'ai pas envie de le fréquenter, mais j'aimerais m'en rapprocher.

Speaker 1:

Je te le souhaite, Moi, je veux pas.

Speaker 2:

Mais Tu veux pas me le présenter.

Speaker 1:

Non, non, moi je vais pas les rencontrer non non, pas plus que ça.

Speaker 2:

Anyway, ce n'est pas des bons clients pour moi de toute manière j'avoue, tu n'es pas dans le casting, comment on est passé tout à gauche des choses que tu voulais parler avec moi, ou est-ce qu'on en a parlé et je n'ai pas vu ça passer tu n'as rien vu passer.

Speaker 1:

C'est quoi le cliché raciste que les gens te posent le plus souvent?

Speaker 2:

mais c'est quoi tu voulais dire par ça? c'est quoi que tu dis racistes?

Speaker 1:

mettons n'importe quoi qui est raciste. Que les gens te disent souvent peut-être que t'es beau pour un noir. T'as un pas trop gros penis pour un noir, je sais pas non, j'av ben n'importe quoi.

Speaker 2:

En fait. Bizarrement, pour moi c'est toujours le même, mais ce n'est pas la même question. Ça va être quelqu'un de random que tu ne connais pas qui va te dire est-ce qu'elle est noire? Puis comme. Mais les noirs, ce n'est pas une personne.

Speaker 1:

C'est ça. La réponse va varier selon le noir.

Speaker 2:

Oui, mais dans ta question, il y a beaucoup d'informations. Toi-même, tu penses que tu es capable de cerner l'ail noir, mais l'ail noir, ce n'est pas une sorte d'hirondelle, une sorte de quoi, c'est juste une couleur d'hirondelle, c'est une couleur de peau. Man, c'est un être humain. Puis, dépendant d'où tu as grandi, si tu es parent d'où tu as grandi, si tes parents étaient riches, si tes parents étaient profs, si tes parents étaient des gens cultivés ou si ils aimaient la WWF, tout ça, ça change Fait que les Noirs le cliché qui revient, c'est pas la même question, parce qu'en vrai, je pense que j'écoute jamais la fin, mais ça commence toujours par Ouais. j'ai envie de se poser une question est-ce qu'elle est noire?

Speaker 1:

Je me suis toujours demandé s'il est noir. Vous, je me suis toujours, à chaque épisode on me dit ça, les affaires de? je me suis toujours demandé pourquoi t'as pas googlé?

Speaker 3:

Pourquoi t'as pas?

Speaker 1:

me rencontré, moi, pour me demander google-la. Franchement, j'ai pété. Maintenant, est-ce qu'il est noir, il?

Speaker 2:

et puis je demande Franchement, tu n'as pas très confiance en toi quand tu fais un bail comme ça, c'est-à-dire quand tu t'es posé la question il y a 20 ans. Ça t'a pris 20 ans pour trouver un individu noir à qui tu peux poser cette question basique. Tu as choisi de ne pas remplir ton verre pendant 20 ans, quand l'information était disponible gratuitement. Ah, gratuitement. Dégage Pas le temps.

Speaker 1:

L'autre question que j'avais, c'était plus en mode Est-ce que je fais comme une mini-série où je pose les mêmes questions à tout le monde pour le fun de voir des réponses différentes. Ça me tente. Après ça, je vais faire une compilation. Si tu avais l'opportunité de réécrire le rôle d'un film qu'importe, c'est qui le personnage, tu tu sais qui le personnage que tu mettrais dans une personne racisée. Tu ferais quoi et pourquoi.

Speaker 2:

Moi, je change un peu ta question et je ferais une série télé. Oui, c'est Pierre Lambert dans L'Enfant.

Speaker 1:

L'Enfant Merde. je n'ai pas écouté L'Enfant. C'est la fin du hockey, non Oui.

Speaker 2:

la plus grande série télé québécoise de tous les temps.

Speaker 1:

Je n'allais jamais regarder du hockey. Lancez compte, Pierre Lambert. C'est lequel? Pierre Lambert, C'est un coach, c'est un joueur.

Speaker 2:

Non, c'est le joueur principal, c'est l'acteur principal. Le chat, c'était comme le Wayne Gretzky, mais québécois Dans la série, mais en vrai, j'aurais pas besoin de changer grand-chose dans le personnage parce que Pierre Lambert, c'est un noir En vrai. Il est à ce point différent de tous les autres joueurs, c'est comme Piqué-Soubène, c'est comme lui comme joueur. Il y a lui et il y a les autres joueurs. C'est un joueur hors pair. Même sa forme dans le truc, elle est noire. Pour te dis à quel point, à la base, le personnage noir, ils sont trop pés en castant un blanc dedans. La femme que tout le monde déteste, c'est une belle femme qui est dans le livre des Guinness pour avoir le plus de couleurs dans ses yeux. Très belle femme mauricienne et tout Qui.

Speaker 1:

Agnès Pannes.

Speaker 2:

Oui, ça plaît, j'oublie ce qu'on appelle, mais oui, l'an seconde, j'aimerais voir cette série d'ajouter au personnage de Pierre Lambert. parce que, c'est comme tu te dis, les gens le détestent pour toutes les mêmes raisons. puis, rendu là, tu serais obligé de te demander le détestes-tu parce qu'il est vraiment bon ou parce qu'il est noir? Mais Pierre Lambert, tu te dis juste, c''est pas ce qui est vraiment bon, mais tu peux juste mettre ce personnage-là comme un joueur noir, l'appeler Pierre-Carles, puis Pernel-Carles, puis let's go. tu as une série télé au Québec, number one.

Speaker 1:

OK, là, ça va me forcer à aller googler l'affaire.

Speaker 2:

L'en-second même Pierre-Lambert le chat. Il y a Marie-Northie là-dedans, non, hum, hum. Je la trouvais tellement belle, bacchana Days.

Speaker 1:

Elle est plus belle maintenant.

Speaker 2:

Je la trouvais tellement belle, Bacchana Days. Rien Je pense qu'elle est encore belle non, je ne l'ai pas. Non, je pense que je pense que la personne que j'étais à ce moment-là pouvait avoir des affinités pour la personne qu'elle était. La personne que je suis aujourd'hui ne voit pas ce que je voyais dans ce moment-là. Je comprends Quand j'ai joué la première saison.

Speaker 1:

C'était Marina Orsini, la prof Tous les jours. Mon père était fier que je joue à la télé et me demandait de demander son numéro non, marina Alcini, c'était, c'était, c'était that girl back in the days ah, c'est ça mon père était comme elle s'est bâtie son numéro. Je suis comme papy, je vais pas lui demander le numéro de la madame pour toi. J'aurais peut-être dû. Peut-être que ça aurait été ma mère aujourd'hui. Peut-être que ça aurait été ma mère aujourd'hui.

Speaker 2:

Peut-être que ça aurait été ma belle-mère. Je te promets que ce n'est pas son genre.

Speaker 1:

Je ne sais pas.

Speaker 2:

Non, je connais au moins un de ses maris.

Speaker 1:

Il se peut qu'on vienne vivre dans l'espoir Ce n'est pas le genre.

Speaker 2:

Je veux dire, tout est possible, mais ce n'est pas le genre. Il y a des femmes blanches dans ce métier qui m'ont donné l'impression qu'elle tente à goûter le lait au chocolat. Elle n'en fait pas partie.

Speaker 1:

Comme Sophie.

Speaker 2:

Sophie qui.

Speaker 1:

Du Rocher.

Speaker 2:

Non, moi je ne parle pas d'elle. Je ne parle pas d'elle. Je ne parlerai d'elle que quand j'aurai une bonne raison, parce que, tu sais, richard a eu le cancer. Ça, il change, cancer des testicules, je ne me trompe pas.

Speaker 1:

J'ai vu comment il a parlé à Mathieu Bocoté, j'ai ri.

Speaker 2:

Je pense que je ne suis pas d'accord avec Richard. On dirait que le fait qu'on dise qu'on va peut-être enlever ses couilles, il commence à voir s'il va les utiliser pour vrai.

Speaker 1:

Peut-être que c'est ça, mais ma mère, avant, dans l'ancien temps, au début, quand j'ai commencé à me chicaner avec Richard sur Facebook, je me suis chicanée dans un sens unique, parce que je fais des commentaires, ensuite ils me bloquent, puis ça, c'est ça, c'est ça. J'étais comme un troll à moi. Les trolls à moi, c'était quoi? Les trolls que je?

Speaker 2:

reçois. T'étais un troll de Richard.

Speaker 1:

Oui, c'était le troll de Richard. C'est bien que tu sois capable d'admettre ça aujourd'hui.

Speaker 2:

Je ne te jamais pas dit. Je ne comprends pas.

Speaker 1:

Ah, ouais, je ne sais pas, moi, j'étais toujours aux gens. Je troll les trolls et je troll avec eux. Non, je suis très fière, je troll et f? Ok, ok. Mais toi, dans le sens que je dis des choses que je pense, tu sais, si tu me dis les Noirs sont des criminels, puis je t'envoie chez moi dans quatre paragraphes, puis je t'envoie des statistiques, c'est ça Pour eux c'est du trolling.

Speaker 3:

Mais Je t'entends, je t'entends.

Speaker 1:

Oui, mais je Je dis pas des fausses choses, je veux pas juste leur dire Mais non, pas Sophie, pas Sophie.

Speaker 2:

Non, je veux dire après, j'ai déjà fait mon cas, pas Sophie. Je pense que Sophie, c'est C'est Tout. Le monde a le droit à des erreurs. C'est tout ce que je veux dire.

Speaker 1:

Non, mais j'adore. Avant, avant, avant, quand j'étais sur Facebook, richard, ça allait bien. Puis, je parle à ma mère. Je dis Richard Martineau, racisme. Ma mère était fâchée contre moi, elle ne comprenait pas ce que je disais, Elle était comme Mais non, je vois Richard à la télé, je l'aime bien. Elle me raconte qu'elle aime bien Richard Martineau. Je suis comme Deux fois que tu aimes bien Richard Martineau».

Speaker 2:

Mais elle m'explique comment elle voyait Richard Martineau il y a 20 ans, en passant, richard, c'est pas le même Richard, et maintenant j'ai vu l'autre répondre à ma question je suis comme ah, c'est peut-être ce Richard-là que maintenant je voyais. Peut-être, mais pour vrai il était intempestif. c'est-tu ça le mot?

Speaker 1:

Je sais pas.

Speaker 2:

Impestueux. Je sais pas ce que tu veux dire en fait, c'est ça mais il n'était pas méchant dans le sens où il n'était pas méchant. Il était un gars qui aimait fatiguer le système, qui aimait fatiguer, qui aimait être un peu un contrarian dans un monde où tout le monde va dans le même sens. C'était pas très difficile, tu vois. puis, c'est un gars que, dans les premières grandes erreurs, au début, j'ai consommé un peu, tu vois, je trouvais que c'était rafraîchissant, presque Pas parce que c'est frais, juste parce que le reste est mauvais.

Speaker 1:

Je comprends, c'est comme ils aiment ça le moins pire.

Speaker 2:

Non, vraiment, comme dans un Québec, où est-ce que dès que quelqu'un dit Moi, des fois, je ne suis pas, bien sûr qu'il ne m'invite pas parce qu'il ne saurait pas comment me gérer Maintenant, je dis quelque chose qui est real, mais trop real au Québec, c'est comme OK, là, c'est fini, tandis que lui. C'est le genre de personne qui va te poser une deuxième, troisième question, qui va aller plus loin, qui va créer une théorie sur la possibilité de ta connerie que tu racontes? Qui va, tu sais, il était intelligent.

Speaker 1:

OK, j'aime ça.

Speaker 2:

Tu sais, c'est pas que j'étais d'accord avec lui, mais je pouvais voir que c'était quelqu'un d'intelligent.

Speaker 1:

Ok, Maintenant la micro-agression soit la plus drôle, parce que t'es comme Ou la plus frustrante que t'aies jamais reçue. Sur quoi Subie?

Speaker 2:

Moi, c'est toutes les fois. C'est toutes les fois, Je veux dire il n'y a pas de bon moment pour ça, Mais ça arrivait trop souvent. Puis je dis il n'y a pas de bon moment, puis il n'y a pas assez de proximité, c'est toujours déplacé mais des hommes qui se mettent à parler de mon pénis out of nowhere.

Speaker 2:

Out of nowhere. La pire fois pour moi, je vivais en Haïti. Je venais de rentrer, ça faisait pas très long. Non, non, je partais, je réfléchissais à partir, ou je sais plus. Mais Haïti c'était dans, puis il se passait des choses, puis je suis parti du jour de l'an chez une amie, puis c'est le copain de sa coloc avec qui Je suis parti du jour de l'an chez une amie, c'est le copain de sa coloc avec qui on parle. Les gens se mettent à me poser des questions sur Haïti. Le gars dit Là, on parle d'orphelinat, des choses comme ça. Peut-être que c'est après le tremblement de terre, je ne sais plus. On parlait vraiment d'orphelinat. Le gars dit Je pense à ça, c'est une grosse graine, toi.

Speaker 1:

Je pense à ça.

Speaker 2:

Les gars. Il m'a interrompu dans un groupe d'une dizaine de personnes en train de parler d'orphelin, parce que ça fait tellement longtemps qu'il y pense. Il n'entend même plus de quoi on parle. Il fait juste attendre son moment parce que tu sais, c'est comme Comment je pourrais dire Tu sais, quand tes parents t'ont dit qu'ils allaient t'acheter quelque chose, tu n'arrives pas à y penser parce que tu n'arrives pas à gérer le temps. C'est comme Moi. Tout ce que ça me fait dire, c'est cette obsession que tu as avec les pénis noirs. Tu sais, beaucoup d'hommes blancs par rapport à la consommation de porno, beaucoup d'hommes blancs consomment du interracial BBC. Oui, genre, eux, ce qu'ils aiment regarder, c'est une femme blanche qui se tue sur un noir ou qui fait des choses avec un noir.

Speaker 2:

Genre, c'est même pas des femmes qui sont en train de. I feel like a lot of those guys, parce qu'il y a beaucoup. Tu sais, à contrario, culture, culturellement, on est différents. Genre, moi, j'ai appris pas tard parce que je suis dans un collège privé, puis j'ai vu des choses, mais, comme les gars blancs, une partie de leur sexualité en Occident, au Québec certainement, genre, au Québec, certainement, ils se mettent en cercle et ils se masturbent ensemble Sur un biscuit?

Speaker 2:

Non, mais ils peuvent le faire juste pour voir qui vient le premier autour d'un abreuvoir, autour d'un parc, autour d'un lac. C'est plus ce qu'ils font ensemble, à se toucher le pénis, à regarder d'autres pénis, puis à être Dieu du pénis, à regarder d'autres gars, à regarder d'autres gars à regarder les pénis, puis tout ce monde-là.

Speaker 2:

Sont supposés pas être gays, supposés, non. Mais comprends-tu? t'as jamais vu l'entrevue de Jonathan Roy, quand il parle de son truc là de se faire sucer par des collègues au hockey, et tout. Puis il est, comme tu sais, comme ça dans la chambre.

Speaker 1:

t'es comme ah, ouais, c'est sur moi, sinon t'es gay. Je suis comme vous avez complètement tout traversé, c'est sur moi, sinon t'es gay.

Speaker 2:

Mais je ne guesse pas que toi, like we're different, like about this thing, like I never think, like I've never talked, genre, je ne me souviens plus. C'est arrivé là, arrivait dernièrement pour une mauvaise raison. Je pense que c'était un sens. Ah oui, j'étais avec Nawel en Belgique. Et puis on est en train de marcher, puis on entend, comme Tu sais quand il pleut des fois, puis il y a de l'eau qui tombe du truc, Puis on entend comme un flux d'eau qui est tellement large, comme quand un robinet s'est ouvert, mais dans la rue Bruxelles. Puis, à un moment donné, quelqu'un fait Ah». Puis là, on regarde Yo, c'est un sens-abri qui est en train de faire pipi. Mon gars, il tient son truc. Mon gars, le truc est comme ça. Je suis comme Yo. Je me rends compte que je n'ai jamais vu de pénis blanc de ma vie».

Speaker 1:

Comme pas blanc, comme ça large.

Speaker 2:

C'était tout C, mais comme c'est quand même une maladie, mais je gomme au fort. mais ça sonne, est comme un, comme un robinet même, qui est en train de tomber sur les sous l'asphalte, puis à indabour. mais quand je me rends compte que j'ai jamais vu pénis blanc ma vie, des en personne, pour rouvrir, j'en ai dit ce qu'on prend l'air de rien, fait qu'il m'agine, moi, à 43 ans, qui est comme ah, i never seen, i never thought about it. Pis, ces hommes-là sont en, ils obsèdent.

Speaker 1:

Ils pensent à votre pénis toute la journée.

Speaker 2:

Toute la journée.

Speaker 3:

Toute la journée.

Speaker 1:

Mais certains de mes clients qui aiment l'infériorité, pis de domination de Parce qu'ils sont blancs, eux autres, c'est ça aussi. Ils payent pour que je couche avec une personne noire pour leur dire que leur pénis est trop petit et qu'il y a un bébé ici.

Speaker 2:

Je ne comprends pas.

Speaker 1:

Ils payent pour que, pour que je couche avec un homme noir Pendant trois ans Oui. Les affaires de Didi là.

Speaker 3:

Hein.

Speaker 1:

Des affaires de Didi là, je ne sais pas, mais ils regardent, en tout cas, ils regardent. Oui, ils regardent, ils ne touchent pas Je suis sûr qu'ils regardent.

Speaker 2:

Ils regardent pour que je sois avec un homme noir, pour pouvoir dire Ah, ouais, tu vois, non, mais c'est comme si, pendant que l'acte arrive, c'est là qu'ils sont, comme regarde ça, toi t'as une petite graine, genre de trucs comme ça est-ce qu'on voit. Ou c'est après, genre, ils veulent que tu fais ça pendant ou je sais pas quoi.

Speaker 1:

Wow, c'est comme ça, t'es comme toi, c'est pour ça lit.

Speaker 2:

Puis là, tu es en train de me dire que c'est ces gens-là qui nous ont colonisés. Oui, il manque un bout dans l'histoire. Il manque un bout dans l'histoire. Ça peut être. Ça peut être eux qui ont écrit le livre d'histoire. Ils manquent un bout.

Speaker 1:

Ils aiment role-play, l'infériorité. Ils n'aiment pas l'être pour vrai, parce que, jesus Christ, d'ailleurs, ils sont bien complexés. Excuse-moi, sinon tu es gay. ça, c'est une autre histoire.

Speaker 2:

Non, mais moi, je veux dire pour moi, à l'état de ma culture, obsédé du monde d'un autre homme, comme ça, ouais, ça parle vraiment plus de toi et de ton amour pour le monde des hommes même.

Speaker 1:

Nia, parce que c'est quelque chose. Les gars, si vous voulez nous expliquer, expliquez-nous.

Speaker 2:

Mettez dans les commentaires en bas, s'il te plaît, les femmes aussi, peut-être les femmes. vous avez du input que nous, on n'a pas.

Speaker 1:

Quand j'étudiais en danse. J'ai jamais entendu des choses comme ça, jamais. On se change ensemble, on prend nos douches ensemble, parce que c'est des douches communes. Mais je n'ai jamais entendu. Ah oui, en danse, personne. Oui, je n'ai jamais entendu personne.

Speaker 2:

J'ai fait le mauvais programme.

Speaker 1:

J'ai fait le mauvais programme Pourquoi, Sauf que tu es un gars tu. T'aurais pas été dans notre douche, t'aurais été avec la douche des footballeurs.

Speaker 2:

Ah, C'est-à-dire que c'était ensemble. C'était ensemble tout le monde.

Speaker 1:

Non, parce qu'on est 99% de filles, on s'entend, mais on va vraiment dans les viscères des filles. C'est juste qu'on a le cours en même temps. La douche, c'est comme une équipe, tu sais, Tantant. Les douches sont au même endroit, comme dans les films. Là, c'est une douche commune, sinon, ou sinon quand c'est, quand c'est c'est je, là c'est des toilettes, c'est des toutes des douches individuelles, ça ça s'applique pas que le monde sera aidé.

Speaker 2:

la fascinante lesbienne, parce que nous, de notre côté, toutes les filles courent après le hangar ouais, non, mais toi t'as pas évité dans ce moment là, ça la fin va pas éviter. parce que, surtout, dans les programmes, il ya plein de femmes comme ça, là et appelé à plein de ya, plein de lesbiennes qui savent ce qu'ils font, qui, après, après, il ya des filles qui sont en recherche d'eux, mais qui sont pas sûres. Mais si toi t'as rien vu passer, ça veut dire que t'as juste pas invité, on t'a juste pas rentré dans le délire.

Speaker 1:

Ce que je veux dire, c'est que c'est pas en groupe.

Speaker 2:

Ah oui, en groupe. Ok De'installer puis se frotter voir qui vient la première. C'est ça. C'est ça qu'il y a pas Là, c'est weird à moi, mais des filles qui finissent en couple avec d'autres filles moi oui, c'est weird à moi. Ah, c'est weird à moi, c'est caché, je sais pas si c'est caché. Mais comprends-tu que quand tu dis à un Blanc nous on ne fait pas ça, je te dis en tant qu'homme, moi, de dire en passant nous on ne fait pas ça, ils sont comme ah non.

Speaker 2:

What can I say? What can I say? Les sportifs, c'est un autre race. Non, non, c'est pas ça.

Speaker 1:

Arrête-le Arrête-le, c'est pas une affaire de sportif, c'est une affaire de gens pas assumés pis Comment ils appellent ça Du monde qui abuse d'autres mondes aussi Soyons francs, un truc comme ça, un moment donné, j'avais vu je sais pas si c'est TikTok ou Insta, j'avais vu passer comme ça, des gars qui racontaient des trucs dans ce genre que dans leur groupe ah non, c'était des amis que dans leur groupe d'amis, ils se sont mis à soit un sucer l'autre pour voir qui était le meilleur. Puis là, à la fin du truc, quand on lui demande mais comme vous, êtes-tu gay? puis il est comme non, non, on est tôt, tout le monde est tôt. Mais il y en a un qui est gay, là, il a comme réalisé. Il y en a un qui est gay, lui, il s'est amusé, hein.

Speaker 2:

Hum, hum. Moi, je suis sûr et certain, il a juste initié le coup.

Speaker 2:

Hey, tout le monde on va voir qui suce le mieux. Non, un autre partenaire qui était là dans le temps de fêter un que tout le monde sait de part, qui habitait dans ce coin là, qui était là, il a dit oui, c'est sûr, john raconte et sa famille, mais c'était pas exactement comme il le disant. Tu vois que pour lui, c'est plus utile, au sens où c'est l'affaire du biscuit cracker. Personne joue à ça. Si le gars qui perd toujours, c'est le alpha d'unou, c'est toujours le même gars qui mange le cracker par au bris des lèvres ou voir ni est celui qui veut le manger.

Speaker 2:

Non, c'est l'extrême bêta dans le groupe, des fois, c'est celui qui veut le manger. Au sens, il était gay pour vrai. Puis vous l'essayez, ça se trouve. Mais il ya un facteur d'humiliation dans le cracker, c''est ce que tu veux dire, ouais, c'est jamais le alpha. qui va manger le cracker? en vrai, Si l'alpha finit le dernier, il va jamais le manger. Par contre, quand?

Speaker 3:

c'est là c'est Moi.

Speaker 2:

C'est pour ça, là, Depuis que j'entends qu'il y avait un noir dans le groupe, je sais que c'est lui qui mange-douleur. C'est pour ça que moi, j'enverrais pas mes enfants au hockey.

Speaker 1:

C'est pour ça que maintenant, ils veulent se faire dire le N-word. peut-être, C'est peut-être les mêmes.

Speaker 2:

Mais les gars qu'on parlait depuis le début, qui ont joué au hockey, c'est pas spécifiquement ces nombres-là, non, mais c'est le profil, ah, le genre.

Speaker 1:

Oui, oui, je peux bien imaginer ça. Oui, je peux tout à fait imaginer ça, sans chercher très, très loin dans mon imagination, en fait.

Speaker 2:

Non, pour moi, c'est pas difficile d'imaginer non plus. Si c'est pas ça, i'm confused. Mais en même temps, tout est possible. Tout est possible. Tout est possible. Tu connais pas la vérité, tu connais pas les gens. Tu sais, des fois, là les gens, ils ont un bail, comme ça, là ça se trouve. sa mère le traitait comme un esclave, dans le cas, elle battait, elle mettait en chaîne, puis lui he's trying to work some shit out. Il fait un petit non simple je sais pas pourquoi ça doit être une femme blanche.

Speaker 1:

Mais dans d'un mot de texte. Là, c'est Chris qui c'est pour se réapproprier le mot, ou je sais pas quoi se réapproprier. J'étais comme monsieur, c'est pas dans une démarche démonstration tu sais.

Speaker 2:

Tu sais, chris, c'est un mystère pour moi. Je connais pas. C'est un mystère pour moi. Je ne connais pas. C'est un mystère Que de dire que c'est un mystère que je veux élucider serait mensonge. C'est juste un mystère.

Speaker 1:

Juste, mystérieux.

Speaker 2:

Juste, des fois, t'es comme oh my god. Et quand j'étais en podcast avec lui, à un moment donné, il me dit ouais, mon ex m'a quitté parce que je suis allé dans un podcast. J'ai dit je vais pas finir ma vie avec une femme blanche. Quand on finit le podcast, il dit ouais, je suis avec une femme là, c'est une blanche et tout. Mais je pense pas que tu brûles les gens que t'aimes pas. T'es comme ça avec tout le monde c'est tough c'est correct.

Speaker 2:

J'ai le plaisir et le privilège d'être moi, pas lui je te jure moi, je suis bien dans ma peau. Je sais pas, c'est quoi lui, sa life? on l'a dit tout à l'heure.

Speaker 1:

On connait pas vraiment les gens yeah yeah, en tout cas il te connait pas.

Speaker 2:

Il est sûr que t'es le monde de l'église en vrai moi oui, il y a quelqu'un quelque part, il est sûr.

Speaker 1:

Il sait pas plus de gens que vous pensez. Ce n'est pas tout le monde qui me connaît et qui comprend même ce que je fais comme travail.

Speaker 2:

Les gens me follow sur Instagram. Ils ne savent pas que je fais ça, la manière dont tu as dit ça, c'est hilarieux.

Speaker 1:

Comment ça.

Speaker 2:

C'est hilarieux Parce qu'une passion de stand-up, pour moi en tout cas, c'est que les gens et ils acceptent le personnage que tu leur présentes, tout ce que ce que ce qu'est ce que perçoivent de ton personnage, puis tu joues dans le personnage, fait que si le monde, ils savent que tu es une sex worker, tu me dis il y a beaucoup de gens qui pensent que je suis quelqu'un qui va à l'église régulièrement. Personne croit ça plus que vous pensez, genre en non, c'est sérieux là, just because it's hilarious, it's hilarious.

Speaker 1:

Mais combien d'eau Tous les jours, il y a des gens qui me viennent parce qu'ils veulent me date.

Speaker 2:

Quand je leur dis c'est quoi que je fais, ils sont surpris et choqués.

Speaker 1:

Ouais mais ça ne veut pas dire qu'ils ne passent pas à l'église. Non, mais à l'église. C'est façon de parler. C'est pour dire qu'ils ne pensent pas que je suis comme je dis que je suis. Je suis comme tu ne regardes pas les photos, tu ne regardes pas les affaires. Ou mettons que je suis, je prends une marche dans la rue, l ok, si donné comme exemple, mettons quand j'étais d'attendre, quand j'étais plus jeune, juste avec comment je suis dans ma vraie vie, comment je parle avec les gens dans la vraie vie, parce qu'il ya personne qui me rend la conversation sur le sexe, mais je savais comment je suis avec eux, tous les jours, mes amis, pendant un an là. Moi, je déteste sur Tinder, comme si ma vie dépendait et tout le monde pensait que j'étais encore vierge les fois où je parlais de sexe. Ils pensaient que je trollais, ils pensaient que je niaisais.

Speaker 3:

En fait, les quelques fois où je disais des anecdotes.

Speaker 1:

Ils pensaient que je niaisais. Puis, de temps en temps, je dis quelque chose, puis ils sont comme ah ah ah, c'est pas une blague, t'es pas vieille. Ça fait genre un an et demi là, la gang.

Speaker 2:

Il y a un an et demi de cette année là.

Speaker 1:

Non Quoi.

Speaker 2:

Il y a un an et demi d'aujourd'hui là, Non, non.

Speaker 1:

Ça fait un peu plus longtemps. C'était comme avant la pandémie, mais ça faisait comme un bon moment.

Speaker 2:

Chaque jour, j'allais sur Tinder, un gars m'attend midi soir après l'école, avant l'école, tout ça, et puis tout ce temps là, vu que je parle pas de mes trucs, tout le monde pensait juste que j'étais vierge tu penses que c'était de la projection par rapport au fait que t'es une fille de forte taille mais je l'étais pas encore dans ce temps là, ah, ouais, fait que c'était juste que tu projetais le vierge.

Speaker 1:

Oui, mais parce que dans ma vie, comme je t'ai dit, je suis très, très vanille et soft et plate Dans ma vie. je ne parle pas de ça, J'en parle sur Internet.

Speaker 2:

Mais tu sais de quoi? C'est-à-dire que tu aimes les caresses douces et tout.

Speaker 1:

Tu n'aimes pas. C'est pas ça qu'on me demande.

Speaker 2:

Non, mais t'as dit toi t'es vanille. Moi je me demandais c'était quoi tes préférences? Sauf, où il y a des gens, ils aiment ça, tranquillement, tranquillement.

Speaker 1:

Non, j'aime ça rare, J'aime pas la douleur, par exemple. OK, je veux pas faire avec des bleus.

Speaker 2:

Ça sent pas vanille, ça là non.

Speaker 1:

Non, comme je te dis, c'est pas que je suis valide, mais, comme je te dis, c'est sur caméra que je veux pas trop de choses. Je veux pas que ce soit partout sur Internet, mais dans la vraie vie, j'aime ça plus rough que juste les câlins. Tout de même, c'est juste que les gens qui me bookent, ils veulent juste les câlins. J'accepte ça, c'est correct. Mais j'aime ça un petit peu rough, juste pas la douleur. J'aime juste pas la douleur. C'est la douleur mon problème, je peux pas porter avec des bleus, on va se battre, c'est quoi.

Speaker 1:

Mais ouais, comme je dis, ou, sinon, c'est juste que c'est quand tu me connais, juste de la vraie vie et pas d'Internet, c'est plus ça.

Speaker 3:

Si tu me connais pas d'Internet.

Speaker 1:

tu penserais jamais que je fais tout ça.

Speaker 2:

I hear that C'est les gens qui connaissent l'Internet, qui rentrent dans ma vraie vie, qu'eux ils savent Comme moi, les gens ils savent C'est rare que les gens ils savent que je suis ma soeur érotique. Tu pensais que c'est pour ça qu'on parlait de ça au départ.

Speaker 1:

Quoi Qu'est-ce que tu me dis?

Speaker 2:

Ah, ça va.

Speaker 1:

Rien. Je sais que tu niaises.

Speaker 2:

Non, non, c'est juste.

Speaker 1:

Ma sœur ici. il faut que je te boucle demain, qu'est-ce?

Speaker 2:

qu'il y a. C'est pas pour rien que j'advertise pas, je suis cher là, Oui, mais c'est correct, j'ai des moyens. C'est 3h800.

Speaker 1:

Parfait. Demain à quelle heure tu es libre.

Speaker 2:

Il faut t'envoyer à dépôt aujourd'hui.

Speaker 1:

Oui, il n'y a pas de stress. Après le podcast, j'envoie à dépôt. C'est combien ton dépôt? C'est moitié Parfait, on fait ça après.

Speaker 2:

C'est bon.

Speaker 1:

Demain 3h À quelle heure.

Speaker 2:

Demain on est quel jour Samedi. Hum hum 3h, c'est possible.

Speaker 1:

Hum, Rien à dire. Je vais tester le produit et puis je vous fais un review. la gang.

Speaker 2:

Et Android Dollar, faut t'en faire le dépôt. S'il n'y a pas de dépôt, il n'y a pas de dépôt 50%, ça veut dire que c'est 400?

Speaker 1:

il n'y a pas de dépôt. Ça veut dire que c'est 400? Oui, oui, après le podcast dépôt, on va tester les produits, les enfants.

Speaker 2:

Est-ce que tu veux que j'amène les produits THC-BD Fous le paquet?

Speaker 1:

de ce que tu offres. C'est bon, tout ce qui rentre dans le 800.

Speaker 2:

Tout ce qui rentre dans le 800? Non, mais c' mais parce qu'il y a des gens.

Speaker 1:

Ils sont pas ça me dérange pas ça détend, c'est bon, j'ai pas de préférence pour THC, pas THC, je fume pas ok, c'est bon.

Speaker 2:

Ben, on va attendre des pauses. Il y a des pauses, on prend rendez-vous. Là, il y a des gens, gens à la maison. C'est comme moi, ta force pour moi.

Speaker 1:

Voici comment ça se passe un booking sérieux, les enfants en direct. Il n'y a pas de ah, mais à quelle minute? mais dans quel angle? mais comment? tu vas être habillé à mes sap et toute la moitié du dépôt? non, non, non direct de l'or. Bien, quel ordre tu veux, comment tu veux le tarif, le dépôt fini. Il n'y a pas de remboursement. C'est trop cher pour ce que tu as fait. En même temps, tu peux, tu feras 600, n'a pas compris?

Speaker 2:

ok, j'ai fini de vous chicaner à l'ombré, et voilà et que j'accepte pas. J'accepte pas beaucoup de nouvelles clientes. Je peux imag imaginer que je n'ai pas beaucoup de temps, mais voilà Grandes.

Speaker 3:

VIP C'est beau.

Speaker 2:

Ok, à demain. Écoute, si le dépôt arrive, on est fait.

Speaker 1:

Moi, c'est une time waster. Je ne vais pas envoyer de dépôt.

Speaker 2:

T'as une quoi.

Speaker 1:

Une time waster. Je ne posais pas de questions. Le dépôt ne va jamais arriver. Voilà, t'as une. Quoi Une time waster? Je ne posais pas qu'une question, pas qu'une question, pas qu'une question.

Speaker 2:

Le dépôt ne va jamais arriver, voilà, voilà, voilà, pour ça je ne prends pas de nouvelles clientes. Ok, déjà là, ils sont chauds, jusqu'à ce que j'ai un spot demain. Fait que voilà, vous savez, vous. Donc voilà, vous savez, maintenant, c'est quelque chose que j'offre, c'est des marchands géotiques Ouais.

Speaker 1:

Tu les ouvres, tes amours.

Speaker 2:

You would not know under my pseudonyme. Quand les gens arrivent, ils voient c'est moi Ceux qui me connaissent beaucoup de femmes blanches qui commandent.

Speaker 1:

Bon, pas la surprise là.

Speaker 2:

Je veux dire, j'ai les deux, deux, mais surtout des femmes le monsieur qui veut me bouquer que j'appelle un noir oui non, tu peux être mon co host.

Speaker 1:

Non, pourquoi.

Speaker 2:

Bon, déjà à la base, je t'ai dit je ne suis pas dans les bails de performer pour les autres. Ah, tu vois, ça, c'est numéro un. Numéro deux, je t'ai dit massage érotique. Je ne vais pas parler de pénétration, ce n'est pas ce que je fais, Tu sais. mais c'est toi et moi. Ok, tu n' c'est moi.

Speaker 1:

Ok, t'as dit que t'étais pas mon frère. non, fait qu'on va s'arranger.

Speaker 2:

Ouais, mais là j'allais rouler tes tétés quand même. Là, je suis pas ton frère. quand même, Je suis pas ton frère quand même.

Speaker 1:

T'es payé, je suis payé. C'est que du plaisir, non.

Speaker 2:

S'il va falloir juste massage. Non, je veux dire, j'ai dit avec plaisir, c'est parce que c'est toi, parce qu'à la base, non, j'ai pas besoin de superviseur mais c'est lui le client. C'est pas le superviseur, c'est lui le client oui, mais dans mon travail, moi, j'ai pas besoin de superviseur. Ça ne va pas fonctionner, malheureusement pourquoi Renze est plate comme ça?

Speaker 2:

je ne sais pas que je suis plate, je suis cher oui, mais lui, c'est son budget, ce n'est pas mon problème je te dis si en effet il est ton sob, fais-lui accepter ce que toi tu veux quoi je te dis si en effet c'est un sob, fais-lui accepter ce que toi tu veux. Quoi? Je dis si en effet c'est un sob, fais-lui accepter ce que toi tu veux, c'est-à-dire que moi, sans pénétration, je vais te faire orgasmer. Je vais le regarder dans les yeux et je dis t'as jamais fait ça, petite pute, t'as jamais fait ça. Tu sais pas comment faire ça. Regarde, mon doigt est plus gros que ton pénis. Check, check, check.

Speaker 1:

À suivre. Je te donne des nouvelles Quand il reboucle. je te propose ça.

Speaker 3:

C'est bon.

Speaker 1:

Ou, sinon je vais juste mentir.

Speaker 2:

Comment.

Speaker 1:

Je n'ai pas l'habitude qu'il n'y ait pas de pénétration, ce sera juste une coïncidence.

Speaker 2:

Vas-y, vas-y, juste pour avoir une histoire à raconter. je le fais.

Speaker 1:

Rien de zéro pour moi. Est-ce que, selon toi, il y a une différence entre Moi je ramène toujours les questions dans le moment par rapport, il n'y a pas de transition, il n'y a pas de small talk. À ton avis, est-ce que tu penses qu'il y a une différence entre les commentateurs qui sont un peu déplacés ou racistes? Y a-t-il une différence?

Speaker 2:

Non, pour moi, la différence, c'est la proximité des gens.

Speaker 1:

OK, dans quel sens?

Speaker 2:

c'est un humoriste qui avait dit ça à un moment donné. J'oublie c'est qui? je pense peut-être Trevor Noah, un autre mec qui disait moi, je pense que c'est Chris Rock. Moi, je suis au restaurant, tu vois, puis je parle avec ma copine, je suis comme ah you crazy bitch. Le serveur revient avec un verre, pis il dit it's true what he say, you're a crazy bitch. C'est le même mot. C'est le même mot. Mais la proximité que j'ai avec ma femme, dans la relation que j'ai avec elle, c'est totalement approprié. Toi, non, un peu comme les clients dont tu parlais tout à l'heure, qu'ils veulent qu'une femme blanche les traite du n-word, ça a tout à voir avec leur proximité. Moi, je ne suis pas la police de toutes ces choses ou de tous ces gens. Par contre, tout ce qui est raciste est déplacé en tout temps. Mais si on a la proximité de se dire certaines choses, then everything is acceptable, i guess.

Speaker 1:

OK, j'entends Les enfants, moi à moi, je ne dis rien. mais oui, ça, tu vois, c'est comme mon ami noir me laisse dire mon ami noir, mais tout le monde n'est pas ton ami noir, en fait tout le monde n'est pas ton ami noir si, en privé, ils te laissent dire que n'importe quoi, ce n'est pas une justification pour ce que tu essaies de faire dans cet espace. Reste avec ton ami noir, parle avec lui comme tu veux, puis c'est fini. C'est pas de problème.

Speaker 2:

D'ailleurs, je ne sais même pas pourquoi tu amènes toutes vos conversations privées ici. Je suis pas du tout.

Speaker 1:

Je suis sûre, c'est pas que c'est un secret, mais Si tu pouvais changer quelque chose comme là, en ce moment, l'ambiance générale de où est-ce qu'on vit, qui s'appelle Québec-Canada, tu vois un peu comment le sujet du racisme est abordé ou pas abordé, est-ce?

Speaker 2:

qu'il y a quelque chose que tu changes, comme qu'est-ce que tu changerais dans la façon qu'en ce moment on fait ça. Ah, la chose la plus révolutionnaire, c'est que les Blancs s'impliquent. C'est la chose la plus révolutionnaire en ce sens où nous, de manière générale oui, il y a des gens qui font un travail d'éducation, tout ça mais on réagit à des choses qui arrivent plus souvent qu'autrement. Mais vous, vous savez, tu vois l'exemple de Big Brother. C'est le meilleur exemple, quand tout le monde a eu la pensée magique, puis la pensée magique est arrivée, puis on a dit oh, my god, vous le savez, mais c'est rare qu'on voit, c'est rare. Je dis c'est rare, mais ce n'est jamais arrivé. Que moi, je vois, dans mon âge adulte, que les gens se prennent en main, puis qu'ils disent mais ça part de nous, fait que puis, c'est pas obligé d'être tout le monde, mais même si c'est un petit grain 1%, c'est laid. Là, tu vois, même un petit grain 1% qui est comme on va laisser les autres 90, mais nous, on va se mettre en forme, on va faire ça.

Speaker 2:

Ça serait le début d'un monde qui change tellement c'est genre, à chaque fois qu'il y a un Moi. Si demain là, s'ils font l'erreur de m'inviter sur un plateau de télé, puis, comme à toutes les fois, ils demandent une affaire sur le racisme, je vais dire mais How many white people did you ask about racism? Because racism is something we live, yes, but it's something you're generally the vous êtes les perpetrators, c'est de votre côté de la ceinture. Quand est-ce que ça arrive de votre bon vouloir d'adresser ça ensemble et de dire c'est quoi qu'on fait? Parce que, c'est vrai, ce n'est pas tout le monde, mais on les connaît, on fait quoi.

Speaker 1:

La même chose que les féministes veulent qu'on fasse, que les hommes fassent entre eux. Littéralement La prochaine, littéralement la prochaine. La prochaine question, ça va être dans la conclusion, c'est plus. Ce sera littéralement la conclusion mais après la conclusion.

Speaker 1:

On coupe pas l'épisode, mais on va juste faire une petite question pour le Patreon. Des petites questions en mode rapid fire je te dis la question, tu réponds vite, vite, vite, sans réfléchir. Donc, je voulais juste faire un petit rappel à la personne qui nous écoute chez elle, à la maison toute seule ou avec je ne sais pas qui t'écoute ça BGFL15 chez Eros et compagnie, pour avoir 15% de rabais sur tous les jouets, que ce soit pour vulve, pour pénis, pour porte arrière, tout ce que tu veux, envoie-ci, envoie-là.

Speaker 2:

Je vais dire si tu n'as pas encore acheté ta rose pour utiliser en combinaison avec ton gars, permets-moi de te dire c'est le nouveau, this is the new world. This is the new world.

Speaker 1:

La rose La prochaine fois. J'ai fait une pub pour la rose, je vais vous la montrer. Je l'ai en plus Quel quelque part dans ma boîte, parce que j'ai trop de jouets là, les enfants. Vous n'êtes pas comme moi, ok?

Speaker 2:

je vous dis tout de suite, messieurs, la rose, ça vous donne la chance de faire des choses que vous n'avez jamais fait avant. C'est à dire, est-ce qu'on peut dire tout ici?

Speaker 1:

vu que c'est sur Youtube, il y a des mots qu'il faudra peut-être censurer. Je sais pas. Tu peux tout dire, mais peut-être pas.

Speaker 2:

Peut-être le début des mots ou pas jusqu'à la fin ok, tu sais, tu peux parker ta saucisse, tu vois, tu vois, puis la laisser sur le neutre, puis des fois enlever le frein un peu, puis des fois enlever le pied sur le frein. Tu vois, juste créer un petit déplacement. Rien de spécial, mais ça fait tout Quand tu es en collaboration avec la rose, regarde, regarde comment Hichal a fermé les yeux parce qu'elle sait, les yeux sont fermés. Elle n'entend pas le feeling, elle n'est même pas là. Mais si vous n'avez pas de rose dans votre arsenal, messieurs, mesdames, get on that. Vous pouvez crier mon nom. Quand le moment est venu, personne ne va être offusqué, sauf le gars, bien sûr.

Speaker 1:

On pensera à Rennes quand vous achetez votre rose, les gars, achetez ça pour la Saint-Martin, pour votre partenaire aussi. Pam Ça, les gars, achetez ça pour la Saint-Martin, pour votre partenaire aussi.

Speaker 2:

Il n'y a pas assez de ça puis, si tu es là parce que ça se trouve, c'est pas quelque chose que tu connais, ça, c'est quelque chose dont investir, acheter une couverture d'adulte la splash dry oui, oui ça il accepte tous les liquides parce qu'il y a des chances que ça génère ça chez votre douce moitié surtout surtout si, la vérité dépendant de comment votre partenaire boit de l'eau, une serviette pourrait ne pas être assez, surtout si vous utilisez la technique parking après.

Speaker 2:

Je dis ça moi, je sais à quoi je travaille. I don't know what you got.

Speaker 1:

Ça se trouve, c'est pas la même pour tout le monde non, tout le monde peut parquer la question, c'est à quel point ils sont rentrés dans le garage c'est ça, parce que parquer, c'est juste déposer, c'est juste déposer non, non je te dis non non, non non non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non. On a déjà eu pour que.

Speaker 2:

Tu dois nous en parler.

Speaker 1:

là là Oui oui, oui, parce que t'as parlé de la splash drive. C'est vraiment important, parce que la première fois que j'ai squitté, le gars était fâché contre moi, hum. Parce qu'on a fait tout ce qu'on avait à faire. Et là, le lendemain, il m'a dit t'as gâché mon lit et j'étais comme I'm so sorry, thanks. Donc les choses m'ont tellement complexée Parce que la première fois je ne savais pas que c'était quelque chose qui pouvait arriver.

Speaker 2:

Non, mais déjà, soyez honnête, vous êtes un peu mal propre. Vous avez besoin d'un peu d'éducation. Sur ce niveau-là, vous êtes mal propre. Qu'est-ce que tu veux dire Au sens où, moi, là, si je veux dire c'est pas du pipi, mais enlève l'odeur, si moi, quand j'ai fini de venir sur toi, je me mets à pisser un peu partout, puis je me lève, je m'en vais, c'est pas vrai que c'est un truc d'étiquette féminine de dire can I take care of these bodily fluids? La même façon que nous, là, on'ai jamais vécu comme un réflexe de quelqu'un qui splash toute ma chambre. Tu t'es dégagé le matin De quoi?

Speaker 1:

Mais qu'est-ce que j'aurais dû faire? Je suis là, j'ai couché dans la chambre.

Speaker 2:

Non, ce n'est pas ça. l'idée, c'est que, quoi qu'il en soit, ce n'était fait le problème. Moi, je suis trop complexée. Je t'entends, mais je suis en train de te dire que, 20 ans plus tard, peut-être que tu ferais la même chose.

Speaker 1:

Maintenant, j'ai rien de splash Joy. Maintenant, je sais que tu as splash.

Speaker 2:

Maintenant tu n'as pas, maintenant tu es chez quelqu'un.

Speaker 1:

Maintenant je sais ce que je ressens avant que ça arrive, tu l'empêches.

Speaker 2:

Oui parce que ce serait trop.

Speaker 1:

Ah, ouais t'es, t'es un pacifique là t'es une bouteille de coca 650, t'es mêle hein ouais, non, non, non, c'est trop, mais la première fois, comme je te dis, je ne savais pas, c'était quoi, je ne savais pas que ça pouvait arriver, c'est juste moi.

Speaker 2:

Je t'explique. Ma première copine. Elle me faisait croire que c'était moi qui faisais ça. Elle a mal réagi. Ma première copine me faisait croire que c'était moi. Il y a des flaques dans le lit. Je suis comme c'est quoi ça? Je ne sais pas. C'est toi. How Je te jure. Ok, je t'entends. Je suis désolé pour vrai que tu aies vécu ça. C'est pas le fun.

Speaker 1:

Non, mais j'imagine que j'aurais pu dire quelque chose. Je ne sais même pas, j'étais juste choquée.

Speaker 2:

Moi une fois, une fois une fille, une fille est allée secouer, puis ça, c'est aussi une affaire, c'est pas vrai, comme si vous n'alliez pas vivre là. c'est pas vrai que les femmes, même quand elles savent c'est quoi? puis je parle pas de toi, juste en général, en tant qu'homme qui fréquente des femmes qui sont comme hey, by the way, i'm about to squirt. ça, ça fait pas partie du langage.

Speaker 1:

Ok, je te crois.

Speaker 2:

Fait que toi, en tant que gars tépendant. pas tout le monde est pareil, tu vois, mais moi, une fois man c'est sorti comme le blanc d'un oeuf Cadbury.

Speaker 3:

Beaucoup, beaucoup, beaucoup.

Speaker 2:

Ouais, ça m'a traumatisé.

Speaker 1:

T'as, se lave-tu mieux que de l'eau fuck, i know.

Speaker 2:

À chaque fois que je le dis, j'ai juste la mémoire de voir cette affaire. Le truc, il s'en vient le bain, il jatte dans toute ma face. C'est comme un monstre qui a craché dans tout mon visage. C'est vraiment. Ouais, c'était un peu ça, le vibe.

Speaker 1:

I'm so sorry.

Speaker 2:

Ça m'a traumatisé aussi. Ça m'a traumatisé. Ça m'a traumatisé parce que c'était C'était le premier squat dans la face, for sure, oui, au sens où c'était déjà arrivé, mais au visage.

Speaker 1:

Je, ne, suis pas capable de squatter dans la face du monde. Ok, je suis trop stressée quand je suis en haut pour me laisser aller comme ça.

Speaker 2:

Si tu es assise sur ta face genre.

Speaker 1:

Oui.

Speaker 2:

OK.

Speaker 1:

Je suis trop en contrôle de déjà mon poids. Il va pas juste me laisser aller. Il va pas se réveiller pour toujours. C'est bizarre, ça. Ok mais je suis trop aussi en mode travail. Peut-être c'est pour ça je suis trop en mode travail, parce que je suis avec personne à part le travail. Donc je suis trop aussi en mode travail. Peut-être que c'est pour ça que je suis trop en mode travail, parce que je suis avec personne à part le travail donc je suis jamais en mode que du plaisir.

Speaker 1:

Je suis en mode plaisir, mais il faut calculer le temps et il faut se rappeler qu'est-ce qu'il y a à payer pour et qu'est-ce qu'il n'y a pas à payer pour. Il y a des limites quand même. Là, les gars, ouais, non, c'est ça, je n'ai pas tout ça. Ça m'est déjà arrivé avec un client, parce que c'est ça qu'il voulait. Mais tu vois, lui, j'ai averti, j'ai dit prends deux lits, c'est à l'hôtel, prends deux lits, parce que tu ne dormiras pas dans le lit. Je te dis tu ne dormiras pas dans le lit, t'es sûre. D'ailleurs, il a pris juste un lit. Le lendemain, il m'a dit Le lit est encore mouillé. Je suis comme, je sais bien, je t'avais averti, j'étais avertie. Tu n'as pas voulu, tu n'as pas mon compte à m'envoyer». Mais moi, toute seule.

Speaker 1:

Impossible que je f dis ça, mais ça m'est jamais arrivé que quelqu'un m'averti que ça s'en vient mais je pense pas que moi, la façon que je ressens mon corps, je pense pas que je peux m'avertir que ça s'en vient, parce que la façon que j'ai senti mon corps, si je peux te, si je peux formuler des mots pour que ça s'en vient, ça s'en vient pas. Si je peux sortir du moment pour t'avertir, comme je peux juste te dire avant, je suis une personne qui squirt tu veux que je te dise quelque chose de fucked up?

Speaker 2:

en tant que soeur féministe, je Je pensais qu'on avait réglé ce problème-là quand on nous a dit, à nous les hommes, qu'il fallait vous dire qu'on allait éjaculer.

Speaker 1:

Moi, je ne sais pas comment vous faites.

Speaker 2:

Ah, je sais, Je ne me sens pas partir. Numéro 2?.

Speaker 1:

Numéro 2,. C'est quelque chose qu'il y a dans ma face.

Speaker 3:

Numéro 2?

Speaker 1:

de numéro 2, c'est quelque chose que bien dans ma face numéro 2, non, non, mais deuxième point. Mais moi, je dis pas pour moi, mais comme je dis, c' n'est jamais arrivé, ok, mais de comment je me souviens que je ressentais la chose. Je n'ai pas l'impression que, si je me mets à parler, que je vais pouvoir continuer.

Speaker 2:

Je veux dire, ce n'est pas de parler, que de dire I'm coming.

Speaker 1:

Maintenant, c'est parce qu'il y a coming, puis squirting, je peux coming aussi, ouais, mais genre I'm squirting, it's coming. Yeah, mais mon coming, mon squirting viennent pas en même temps.

Speaker 2:

Tu peux trouver un mot de code Quand ça va arriver.

Speaker 1:

Je vais réfléchir à ça.

Speaker 3:

Dis robinet Robinet Quand ça va arriver. Je vais réfléchir à ça, c'est Robinette, robinette.

Speaker 1:

C'est pas.

Speaker 2:

Robinette, Robinette, Robinette.

Speaker 1:

Moi, je te dis à l'avant Si tu veux te forcer pour me faire squatter, tu peux, mais sache que c'est Robinette. C'est pas arrivé dans la face à personne. J'ai pas eu à avertir. En fait, c'était numéro un un, ça qu'il essayait de faire. C'est ça qu'il a réussi à faire. C'était pas dans la face à personne ok je pense pas que ça s'applique à ma pratique à moi, mais, comme je te dis, faudrait que je réfléchisse, faudrait que je vois, mais j'ai pas l'impression que je suis dans un état de parlage pourquoi parce que si je dois activer mon cerveau pour dire des mots, je vais être encore dans le mou.

Speaker 2:

Non, moi je te retends que en tant qu'homme, you know, I feel the way Je te dis. J'ai eu mon événement traumatique, puis ça a changé mon point de vue, Parce que l'air de rien. Ça avait l'air de notre affaire à nous, sauf un verre.

Speaker 3:

Non, mais dans la face ça vraiment c'est méchant.

Speaker 1:

Ah, ah, ah ah. Donc, la conclusion est faite. Là, maintenant la dernière question, en fait, non, la préconclusion est faite, puis la partie que j'ai oublié de dire, que je vais dire maintenant, puis on va tous en rire plus tard, c'est que quand vous utilisez le code promo BGFL15 chez Ross Company pour Black Dose Romaval, il y a une partie de la commission qu'on gagne, qui s'en va à la clinique juridique de Saint-Michel, à la fin de l'année. On fera un beau petit chèque s'ils acceptent l'argent qui provient de moi. Donc, quelle serait ton réponse?

Speaker 2:

Je connais d'autres places, si jamais c'est un issue.

Speaker 1:

Yeah, yeah. Des fois, j'ai besoin de temps. Si c'est pas mon argent, i guess que je vais pas te forcer. Quel serait ton conseil pour ceux et celles, surtout celles, qui écoutent le podcast puis qui veulent être plus ouverts d'esprit?

Speaker 3:

mais qui ont peur de faire un faux pas.

Speaker 2:

Personne blanche, genre Pas forcément, parce que des fois il y a des personnes qui sont juste non-noires, puis somehow ils Je pense que Je ne sais pas, d'où est-ce que peu importe la personne est par, mais j'ai envie de dire d'être sincère par rapport à ce que tu ne sais pas, d'où est-ce que peu importe où la personne part, mais j'ai envie de dire d'être sincère par rapport à ce que tu ne sais pas, en tant que personne, que les gens, des fois, ils semblent vouloir s'y lier pour l'information, la consensualisation, être informé, peu importe. Les gens viennent vers moi, toutes les couleurs de peau, mais les gens sont tellement stressés, tights, qu'ils prennent une posture, ils se donnent un désert. Après, il y a de tout pour faire un monde, mais si t'as l'humilité d'être comme like I don't know, like I really, ça c'est la première chose. Puis, la deuxième chose, c'est aussi de ne pas avoir peur de s'excuser. Ça, c'est comme C'est la plus grosse chose, parce que les gens, ils ont peur de s'avancer parce qu'ils ont aucune envie, intérêt pour la dernière chose, de dire Ça se trouve, je vais offusquer quelqu'un, puis ça coûte rien de t'excuser.

Speaker 2:

Mais il y a des gens, c'est pas leur éducation, ils savent pas faire Leur égo, je ne sais pas. Mais quoi qu'il en soit, c'est tout ce que j'ai à te dire. En face, tu peux trouver à peu près tout et n'importe quoi, mais si t'es que tu as offusqué la personne en face de toi, You'll be alright.

Speaker 1:

Ok, j'aime ça. Merci, les amis. Donc, pour ceux qui écoutaient sur YouTube, je te dis abonne-toi, abonne-toi à Rennes. Tu sais où le trouver. Le lien va dans la bio. Puis on se revoit la semaine prochaine. Bisous, bisous. Sous-titrage Société Radio-Canada.