Black Girls From Laval

Le #metoomovement chez les hommes

Naï (Aïcha Black), Christle et LauToTheRey Episode 113

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Comment une phrase aussi anodine que "Once you go black, you never go back" peut-elle susciter autant de débats passionnés? Nous plongeons au cœur des relations interraciales, partageant nos propres expériences et celles de nos invités pour explorer les multiples facettes de cette expression controversée. Est-elle un compliment sincère ou une fétichisation insensible? En nous questionnant sur ses origines et sa pertinence, nous espérons ouvrir un dialogue sur la perception des stéréotypes et leur impact dans notre société.

Cultiver l'humour pour surmonter les absurdités quotidiennes est un art que nous maîtrisons, même lorsque des clichés racistes viennent troubler notre tranquillité. Entre anecdotes sur le célibat, les relations familiales et les maladresses culturelles, notre discussion se veut à la fois authentique et sans artifice. La réalité de la scène de stand-up sans masque, où l'on rit de soi-même pour mieux dénoncer les préjugés, nous permet aussi d'aborder des sujets sensibles de manière légère et percutante.

Au-delà des rires, nous soulignons l'importance d'une compréhension mutuelle et d'une représentation diversifiée, là où l'appropriation culturelle pose problème. Dans un climat social où la susceptibilité est omniprésente, nous prônons une ouverture d'esprit et encourageons un débat honnête et constructif. Rejoignez-nous sur Patreon pour prolonger ces discussions et découvrir nos soirées d'humour mensuelles à Montréal, où diversité et tolérance prennent la scène.

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Speaker 1:

et yo, yo ça va, tu parles même pas comme ça. Bonjour, Il est beau lui. C'est moi qui suis célibataire, il est célibataire.

Speaker 2:

Hey, are you single She?

Speaker 1:

asked if you're single. Il n'a pas compris. Ah, pauvre moi, je suis condamnée à être célibataire au Québec. Donc, est-ce que tu as vu passer sur les réseaux sociaux, kate, là, qui veut se chercher un camarounet? là, je cuisine africain jusqu'à ce que je trouve mon futur mari. When you go black, you never go back. J'ai des épices, histoire que ça épique jusqu'à Nangor.

Speaker 2:

Let me know if you like it. Je prends les candidatures en DM. Je suis dead. J'ai vu ça, j'ai fait non, non, non, j'ai mal compris. J'ai fait écoute une deuxième fois pour bien entendre. Qu'est-ce?

Speaker 1:

que, parce que là, c'est ça, là je parle de sa vidéo de Once you go black, you never go back.

Speaker 2:

Ouais.

Speaker 1:

Parce que je pense qu'elle a commencé une série de Elle se cherche un, parce que j'ai pas compris si elle a rencontré un Camerounais ou si elle se cherche un amoureux. Camerounais, parce qu'elle fait des recettes. Là, elle a fait une recette africaine, i guess. Elle a dit épices à l'Afrique, bref.

Speaker 2:

Elle essaie de faire des recettes Après ça.

Speaker 1:

Maintenant, la question est Toi, cette phraselà de Once you go black, you never go». Ah, il y a un bout de mur, c'est un mur. Ouais, c'est ça. Once you go black, you never go back, ouais, qu'est-ce que ça te fait d'entendre? C'est quoi, pour toi, cette phrase, C'est bien ou c'est mal?

Speaker 2:

T'aimes-tu ça? Non, je pense que C'est drôle parce que tu dis ça, parce que J'ai une soirée du bourg à Québec que j'annule puis il y avait un couple interracial en avant.

Speaker 2:

Puis, évidemment, j'avais pas le choix de fuck with them un peu, je les ai carré. Puis là, je me suis gaié la fiche. Je me suis dit est-ce que c'est la première fois qu'il y a un homme noir dans la lampe? noir dans la lampe? j'ai dit ça. J'ai dit one, two go. Ça faisait longtemps que je n'avais pas dit ça. C'est récent dans ma mémoire. Quand j'ai entendu ça, c'était drôle, je l'avais très proche. Mais après l'avoir dit, j'étais comme je ne pense pas que c'est une bonne chose qu'on perpétue ce genre de propos. Je pense que c fait partie de tout un lexique de trucs qu'on devrait. Je pense qu'on devrait plus dire ce genre de choses.

Speaker 1:

Comment est-ce que je le dis, oui, je comprends Bien, je comprends certain. Je te dirais que Moi là, mon problème avec tout ça, c'est même pas les phrases en tant que telles, c'est plus les origines des phrases, parce que, comme quand c'est des phrases qui existent depuis longtemps, là tu sais pas vraiment ce qu'ils veulent dire pour vrai c'est pas l'affaire là si c'est un mode en compliment, parce qu'on est tellement nice que c'est impossible de plus, nous aimer une fois que tu nous rencontres, j'entends cool, cool.

Speaker 1:

Si c'est en mode fétichisation, genre les monsieur, là, vous avez tellement des gros engins qui ne peut pas retourner en arrière avec un petit zouise, c'est comme ah, bon, je sais pas. Puis, j'ai vu dans les commentaires quelqu'un qui était comme oh, mais parce que ça, alors que c'est pas tout le monde qui l'utilise pour le même sens, il y a des gens, comme je dis, qu'ils l'utilisent pour le Une fois qu'on vous aime, on n'arrête pas de vous aimer. Il y en a que c'est parce que, bon, une fois qu'on est accro à votre zouise, il n'y a pas de retour en arrière. Puis, il paraît qu'il y en a qui l'utilisent dans le sens de C'est comme si un chandail Non, une fois que tu vas vers les Noirs, t'es plus bonne pour les Blancs, ah.

Speaker 2:

Je n'avais jamais compris ce sens-là.

Speaker 1:

C'est pas Là, je suis comme.

Speaker 2:

En même temps, t'as raison, c'est tellement des vieilles phrases que ça serait surprenant que ça soit positif pour les communautés noires. C'est ça le problème, c'est ça. On trouve ça drôle, mais en fait on fait juste répéter des vieux traumas. C'est ça Des références à l'histoire.

Speaker 1:

Il y a plus de chances que ce soit négatif que positif. On est comme là, on rit, on rit. Mais quand on réfléchéchit, on est comme bon à ta, ta, ta coagerie à quoi je? commence on avec notre à part, remercier notre sponsor et rose et compagnie, comme vous savez moi je peux dire one figo et rossi ne veut go back.

Speaker 1:

Ça, ça vient du coeur et de la gentillesse. C'est une compagnie de jouets érotiques sexuels. Il y a des huiles à massage, des préservatifs, il y a des jouets, comme j'ai dit, pour hommes, pour femmes, pour vagins, pour pénis, pour tout, même pour les mamelons. Tout le monde a des mamelons, j'adore ces transgenre des mamelons corollistes, c'est Comment on dit, c'est.

Speaker 2:

Oh Unisex.

Speaker 1:

Ouais unisex. I guess En tout cas, bref, c'est non-genre.

Speaker 2:

Ah, c'est, ça, c'est non-genre, c'est non-.

Speaker 1:

On a des mamelons, tout le monde en a, sauf les deux exceptions qui ont coupé leurs mamelons, je pense. Sinon, c'est ça. Merci à Eros et compagnie. On a un code promo pour tout le monde.

Speaker 2:

Attends. Je veux savoir qu'est-ce qu'il y a comme jouets pour les mamelons. Ça m'intéresse.

Speaker 1:

C'est des pinces qui vibrent, des pinces que vibre, des peintres que tu tiens, mais je n'en ai pas avec moi, parce que moi, mes mamelons, ça ne marche pas. Pourquoi Mais ils ne sortent pas trop.

Speaker 2:

Ils sont quasiment en flat avec la C'est drôle parce que je reçois du hate sur mes mamelons, montre-moi voir, montre-moi voir.

Speaker 1:

Kevin. Il a dit montre-moi voir. Si ça n'allait pas sur Youtube, je t'aurais montré. C'est juste à cause Youtube va me bannir. Mais j'ai fait un, un reel sur Instagram, puis j'ai accidentellement non accidentellement laissé un mamelon tomber dans la vidéo. J'ai une de mes haters. Pourquoi tes mamelons? ils sont comme ça. Ah, tu veux me bodyshell sur mes mamelons? maintenant, j'ai un whole haters. Pourquoi tes mamelons sont comme ça? Je suis comme ah, tu veux me bodychamper sur mes mamelons? maintenant, j'ai un whole obésité going for me et toi tu veux me bodychamper sur mes mamelons. Dis-moi que je suis grosse et c'est tout. J'aimais ça, ça.

Speaker 2:

Les âmes ont fait qu'ils sont n'importe quoi.

Speaker 1:

Je te jure Pourquoi tes mamelons différents? On va dormir. J'ai ri fait que ouais, parce que j'avais un de mes préférés qui voulait m'acheter un jouet que, justement, c'est une pince qui tient sur les mamelons, puis ça vibre à distance comme lui de chez lui avec son application. il peut le vibrer, ça tient pas. Maman refuse de se pointer quand tout le monde a des Maman qui sort, quand il fait froid, les miennes sont normales là on divague vraiment.

Speaker 2:

Mais est-ce que c'est parce que t'as pas assez joué avec, t'as pas assez tiré après?

Speaker 1:

il fallait tirer, après il fallait les dresser. je sais pas, attends, ils sont juste tout petits, ils sortent pas beaucoup. tirer après? Ah, il fallait tirer, après, il fallait les dresser. Je sais pas, attends, laisse-moi regarder. Mais ils sont juste tout petits, ils sortent pas beaucoup, mais je sais pas, il fallait jouer avec. Bien, je pense que ça, se Ça se change, c'est pire, Je vais les pratiquer Maintenant, le soir, avant de dormir. je vais juste tirer petit à petit.

Speaker 2:

Exact, tu vas juste tirer et tu m'en reparleras dans un mois.

Speaker 1:

Enfin, un défi de growing the mamloune. Merci Ross pour ça. Avant de commencer les questions que j'ai par rapport au racisme et tout autre sujet adjacent, ma première question, c'est présente-toi. Qui es-tu, qu'est-ce que tu fais dans la vie, qu'est-ce que tu aimes, qu'est-ce que tu?

Speaker 2:

passes. Salut, je m'appelle Kevin. Alors, je suis jardinier star de la porno. Non, c'est vrai. Non, je suis. Non, c'est vrai. Salut, je m'appelle Boucard Diouf. Non, je m'appelle Kévin Thin, je suis humoriste. En ce moment, je suis en Colombie en vacances, Puis, après retour 2025, je suis en tournée un peu partout au Québec.

Speaker 1:

J'aime ça. Quel genre d'humour tu fais. Tu pouvais te catégoriser dans un.

Speaker 2:

On appelle ça? J'allais sortir le mot. Je pense même pas On appelle ça, j'allais sortir le mot. Je pense même pas qu'il y a un mot, je voulais juste avoir l'air intelligent. C'est du stand-up très proche de ce que je vis, de la réalité. Je pense qu'il y a un titre, il y a un terme de ça. C'est quand t'as pas vraiment de personnage de scène. Ok, oui, oui.

Speaker 2:

Évidemment, c'as pas vraiment de personnage de scène en fait. C'est très, très Évidemment, ce n'est pas tout vrai, mais la plupart est très vrai. Je parle beaucoup de ce que je vis En ce moment. Je parle de célibat, parce que c'est ce que je vis. Je parle de ma mère. Ma mère est un personnage récurrent sur scène parce que c'est un personnage dans la vie. Tu sais ça, voilà.

Speaker 1:

J'aime ça. Bon, alors commençons dans le vif du sujet. Comme j'ai dit plus tôt, je pose les mêmes questions à tous mes prochains invités, juste pour voir un peu le type de réponse. On va voir avec le public, les commentaires, quelle réponse est bonne pour que maintenant tous les Noirs on va se référer à cette réponse-là. On va avoir moins de hate. On va avoir moins de hate. Est-ce qu'il y a un cliché raciste ou une question que les gens te posent tout le temps? et comment réagis-tu?

Speaker 2:

hum, oui, évidemment, il y en a plusieurs, comme nous tous, mais je pense que un qui me dérange le plus, c'est le pénis, le fameux pénis. Parce que surtout c'est le pénis, le fameux pénis. Parce que surtout, c'est toujours des hommes qui demandent ça. Moi, je suis hétéro, je suis, comme C'est toujours, des hommes hétéros qui veulent se comparer, qui n'ont peut-être pas confiance en eux et qui sont comme c'est vrai, c'est vrai, t'as une grosse maillotche, c'est vrai, t'as une grosse maillot. Ça, j'en peux plus, j'en peux plus. Arrêtez de me demander ça?

Speaker 1:

Ah non, ça a compris le gars à laisser le pénis à Kevin tranquille, exact. Puis, quand il te le demande comment tu réagis, il n'y a pas de bonne ou mauvaise réponse, comment tu réagis d'habitude.

Speaker 2:

Toujours avec l'humour, je tourne tout à la blague parce que c'est le meilleur moyen de se sortir de ce genre de situation malaisante. Mais des fois, j'ai réalisé que même si je fais semblant, je pense que ça m'atteint plus que je le pense.

Speaker 2:

Les femmes blanches aussi, ils ont un gros ting par rapport à ça. Il y a une fille que j'ai fréquentée et on est devenus amis. Après, On a vu que ça ne marchait pas. Fine, Elle m'a raconté après que la première fois qu'on a été ensemble, toutes ses amies blanches dans son groupe chat, attendaient qu'elle dise genre mon pénis était quand même. J'étais comme C'est pas un animal de cercle. What the fuck.

Speaker 1:

Ça c'est whack un peu.

Speaker 2:

C'est vraiment whack. Je pourrais être là, fait que c'est ça. J'ai rien dit cette fois-là, mais c'est whack.

Speaker 1:

Pourquoi je te dis qu'il n'y a pas de mauvaise réponse, c'est que quand même, plus souvent, je trouve plus souvent qu'autrement, on ne dit pas ou on essaye. Oui, tu as raison, parce que chaque fois que je dénonce sur les réseaux, les gens pensent que je passe ma journée à dénoncer. Quand je dénonce sur les réseaux, c'est parce que je suis dans mon safe space chez nous. Quand je suis dans la vraie vie et que c'est ton boss qui dit des choses comme ça, on n'est pas tous forcément à l'aise de répondre à notre boss. Monsieur, tu es un petit chiste. là, on n'a plus de job demain.

Speaker 1:

C'est pour ça qu'il me dit Mon ami noir, ça ne lui dérange pas, ce n'est pas, même si ça nous est arrivé mille fois dans notre vie.

Speaker 2:

C'est toujours une surprise, on est toujours un peu choqués Dans ce moment-là. C'est pas là que tu réponds le mieux, que tu as une pensée articulée, que tu peux éduquer la personne. Souvent, tu laisses passer. Puis après tu repenses, tu te dis Ah, j'ai arrêt de vous dire ça, j'arrête de vous dire ça, j'arrête de vous dire ça, c'est toujours une nouvelle claque dans la face.

Speaker 1:

À chaque fois, c'est ça, parce qu'on dirait qu'on s'appelle Quand c'est tes amis surtout, c'est comme si tu t'attends pas à ça d'eux. Ouais exact, c'est ça. Là, c'est comme ah, va dire que t'es scénariste. Demain matin on te donne un contrat. N'importe quel film qui existe, tu peux changer le personnage principal pour un personnage racisé. Ce serait qui, quoi, comment, pourquoi?

Speaker 2:

C'est certain que ça serait Spiderman, parce que ce gars-là, c'est sûr qu'il est black.

Speaker 1:

Il a grandi avec ses grands-parents il a vu son nom, il a vu avec sa tante et son oncle.

Speaker 2:

Il a vu son oncle se faire chuter. Il a pas d'argent, il va à une école publique pourrie dans Queens, à New York. Ce gars-là, je comprends. Ils l l'ont mis blanche juste pour faire Non, non, ça marche pas.

Speaker 1:

Spider-Man, j'aime ça. Faudrait que je réfléchisse à une autre idée, parce que là ça fait trois fois que je dis moi, c'est Blanche-Neige, Je veux être Blanche-Neige dans une famille noire, mais elle est albinos Comme ça. elle est blanche comme neige, mais noire aussi Moi. c'est mon fétiche. Puis je dis toujours ça, mais sachant que je ne pourrais même pas la jouer. C'est ça la blague. Pourquoi? Parce que je ne suis pas albinos, pas en tout. J'ai créé un rôle que moi-même je suis trop noire pour le jouer. Quelle histoire.

Speaker 2:

Maintenant avec les aïe, avec le sillage, ça peut s'arranger. J'aime pouvoir. La question, c'est les sept nains sont latinos ou?

Speaker 1:

Ah, le sept nains regarde. Ils peuvent varier, on peut faire un arc-en-ciel, c'est l'ONU. Exact, C'est ça. Exact. C'est l'ONU, C'est ça exactement.

Speaker 2:

Je suis mort de rire.

Speaker 1:

Chaque nain a sa propre, ça va.

Speaker 2:

Je n'ai pas de problème avec eux. Qu'est-ce que je veux voir sur cette blague-là?

Speaker 1:

Je suis curieux. Tu vois, grinchus, ça va être un white man, je le sais déjà. Il va marcher partout, not all white people. Et nous, les hommes, et nous, les hommes il va crier ça tout le long, pauvre type ah ça me donne quoi.

Speaker 2:

Que s'est passé?

Speaker 1:

mon clavier est tombé et j'ai accroché le mute ah non je t'entendais pas, non, mais je t'entendais pas rire, mais I guess tout le monde s'entendrait, sauf moi. Fait que c'est correct fais l'imaginer, je vais rajouter les rires en voix off après T'as-tu vu le TikTok genre tu fais la face, je fais le son.

Speaker 2:

Non.

Speaker 1:

Maintenant, je te montre une face. Toi tu fais le son que tu penses qui fit avec la face, mais il y a comme un whole trend de TikTok. C'est ça fait que là, ça va être toi qui es comme, pis moi qui fais les pour les gens audio, ils vont rien comprendre. Ok, prochaine question, si j'ai pas tout effacé en échappant ça, ah oui, quelle est la microagression la plus drôle ou la plus frustrante que t'aies jamais reçue, à part le bénisson?

Speaker 2:

ben, c'est facile. C'est les femmes drôle ou la plus frustrante que tu aies jamais reçue, À part le bénisson, C'est facile. C'est les femmes dans la quarantaine en route qui m'agrippent les fesses des fois. Des fois, je suis porte aux gammes. Je suis allé voir Richard Sons-Effet C'est un bon ami. Je suis allé voir un spectacle avec lui, DJ Champion récemment, ou NTLUS. Je lui ai dit je respecte pour vous, les femmes, pour un soir, je dis tu fais quoi De se faire?

Speaker 2:

toucher par des agrées, De se faire toucher tout le temps par des agrées. Tu penses que tu aimes ça?

Speaker 1:

tu penses que c'est ça la partie folle. C'est en tout cas quand t'es une fille. Je sais pas toi si tu le dis ou truc, mais si on ose dire que ça nous plaît pas, c'est comme si c'est nous les folles. Mais pourquoi t'es pas contente que je te trouve belle? je suis très contente que tu me trouves belle. C'est juste, fais-le de ton bord, de la salle, c'est ça. Trouve-moi belle tant que tu veux. J'ai pas besoin de savoir, tu sais Exact.

Speaker 1:

Ils n'ont pas cette logique. Puis, tu sais une fois aussi l'affaire avec les gars. Je pense, comme on est tellement habitués de nous-mêmes dénoncer pour nous, mais vous, vous dénoncez pas pour vous quand ça vous arrive. Après ça, vous pensez que vous êtes seul à la vie. Mais avant, je suis sortie avec des amis, puis, quand ils boivent, ou ils buvaient justement, ils s'amusaient à juste toucher des gars, pas leurs fesses forcément, mais il y a des gros biceps où ils plaient, ils s'en vont caressé, et je suis comme, dans ce temps-là, je ne pensais même pas à tout ça, mais moi, j'étais juste en train de me dire Mais je n'aime pas qu'on me touche, sauf pourquoi on toucherait d'autres gens. Et là, je me mets à chiquer avec mes propres amis dans le bar mais arrêtez de toucher les gars, parce que l'affaire, c'est que moi, je vois vraiment, Il t'a pas dit oui, il t'a pas dit non, j'entends, Mais si, dans cinq minutes, il décide de venir toucher mes seins, là, qu'est-ce que je vais dire?

Speaker 2:

Ah non, désolé.

Speaker 1:

Moi, touche-moi pas sans mon consentement.

Speaker 2:

Alors qu'on a passé la soirée à tripoter. Ah il y a quand même un double standard. On peut pas trop en parler, mais il y a quand même un double standard par rapport à ça.

Speaker 1:

Mais parce que l'affaire aussi, c'est que, en tout cas, en tant que fille, moi je sais que je dénonce, mais vous, les gars, on ne vous entend jamais dénoncer, Mais c'est que si on parle, on se fait tout de suite se fermer nos gueules, Mais là on ne parlait pas sous notre pouce là« Ah oui, il y a des madames qui ne trouvent pas tout ça».

Speaker 2:

C'est sûr que je vais avoir des commentaires de Tu devrais être content, tais-toi». Parce que d'un homme qui se fait agresser, on dirait que ça n'existe pas vraiment en société. Alors que oui, ça existe.

Speaker 1:

Moi, ce qui me tue. Ça change de sujet, mais il y avait un gars, des mineurs dans le centre de jeunesse, je pense la centre de détention. Ils couchaient avec toutes leurs éducatrices. Là, il y a comme six personnes qui se sont faites renvoyer.

Speaker 2:

Bon Wow, oui, oui, c'est passé dans les nouvelles.

Speaker 1:

Oui, ça, c'est traumatisant. Puis, là, dans les commentaires, la majorité, grande majorité des gens, qui étaient comme laissez-les tranquilles, ces jeunes-là, ce ne sont pas des agressions, ils devraient être contents. Ce sont des hommes. Là, c'est comme. Mais les gars, quand vous vivez une agression et que vous dénoncez l'agression, vous êtes les premiers à vous autogastlight. Mais ensuite, quand on va faire une journée des droits de la femme, vous allez me donner un commentaire Et nous, les hommes, vous nous oubliez. Mais vous, quand vous êtes, vous allez nous tirer des balles. Il devrait être content. On est comme bon bb, on voulait gérer vos propres affaires et l'on s'en va dans notre commentaire, vous êtes là, je dis vous, en sa part, je parle.

Speaker 1:

Jamais vu dans mes commentaires dire et nous, et nous.

Speaker 2:

Ça démontre que, pour la majorité des hommes, les agressions n'existent pas, que ce soit envers eux ou envers les femmes.

Speaker 1:

C'est ça que ça veut dire, je suis contente que tu sois à l'aise d'en parler les enfants, parce qu'il en faut des comme ça, il en faut, il en faut qu'ils soient capables de parler. Il faut des gens qui dénoncent, il faut des gens qui écoutent, il faut des gens qui supportent, Il faut toutes sortes de gens. Fait que dans les commentaires, si j'en vois bloques, ah non, c'est con Direct. Fait que réfléchis-toi deux fois Comme là. Là, t'as tout l'épisode pour écouter. Écris-le une minute, assure-toi que je suis pas sur mon set pendant cette minute-là. malheureusement, pour vrai, je suis toujours sur mon STL. Fait que juste dis puis efface-le vite avant que je le vois, parce que si c'est moi qui vois que t'es bloqué, parce que non, je m'en fous. Est-ce que tu bloques souvent tes gens? Ah oui, j'adore ça. Mais tu sais, c'est pas bloqué que j'aime, moi, c'est restreint que j'aime sur Instagram, parce que quand je les restreins, ils peuvent quand même commenter, mais personne d'autre que eux voit le commentaire.

Speaker 2:

Ah, ouais, je ne savais pas ça.

Speaker 1:

Tu vois la fille de mes mamelons, la fille qui chiale contre mes mamelons. elle, je les restreins pendant deux semaines, Chaque pause que je fais. elle commente, Mais elle est seule à parler.

Speaker 2:

Elle est la seule qui voit ses commentaires, mais elle, elle ne sait pas qu'elle les restreint. Non, elle ne sait pas. Ah, c'est bon ça.

Speaker 1:

J'adore. Pendant deux semaines, elle parlait juste toute seule. Moi, je suis crampée. Je la regarde, je ne sais plus où son hate est, tout le long de l'eau. Des fois, c'est comme si j'avais une vidéo où il y a 50 commentaires. Il y en a 20 qui ont du hate, mais les 20 qui ont du hate, personne d'autre voit leurs commentaires qu'eux-mêmes.

Speaker 2:

Wow, j'aime ça.

Speaker 1:

Là. maintenant, je me suis mis sur ManyChat. ManyChat envoie des réponses automatiques. Je l'ai enlevée de mute, comme ça, elle reçoit une réponse. Maintenant, elle s'est chiquée avec le robot. Elle écrit une insulte. Le robot lui dit Check your DMs. Elle répond Laisse-moi tranquille, Je ne vais pas regarder mes DMs, Je m'en fous de toi, Laisse-moi. Elle s'est chiquée dans mes DM avec mon message automatique. je suis comme madame Wow, Tu penses vraiment que moi, j'aurais été manuellement t'écrire. regarde tes DM.

Speaker 2:

Ah, il y a des gens qui sont malheureux. C'est pas L'allée de perdre son temps comme ça.

Speaker 1:

C'est fou, il se chicane tout seul, mais moi, je suis obligée de rire parce que c'est quand même drôle. C'est quand même drôle, c'est fucking drôle À quel point tu veux tellement maïr que tu te scannes toute seule.

Speaker 2:

Exact.

Speaker 1:

Avec un robot.

Speaker 2:

Avec un robot.

Speaker 1:

Wow, c'est comme. Ok, je t'ai fait mal à ce point-là, juste, mon existence te fait tellement mal comme ça. Oh, wow, ok, je vais continuer. Oh, là, là, ok. La prochaine question, c'est qu'est-ce que tu penses de la tendance des marques mainstream à s'inspirer, mettons, des cultures racisées? Je recommence ma question parce que j'ai la main dans ma face Que penses-tu des entreprises mainstream qui s'inspirent?

Speaker 2:

des personnes, des cultures racisées sans leur rendre hommage. C'est Wack, c'est sûr. J' avec. Je ne me souviens pas. Je pense Louis Vuitton, i'm down for it, it's our time, c'est notre temps, c'est parfait. Mais quand c'est un CA juste de blanc, on se fait pour faire de l'argent, et qu'il n'y a aucun membre des communautés sur le board, ça ça ne me pue au nez, ça me donné envie de vomir. Il y en a beaucoup, il y en a vraiment beaucoup, malheureusement.

Speaker 1:

Même chose. pour moi, c'est ça qui fait toute la différence entre appréciation et appropriation.

Speaker 2:

C'est ça qui fait toute la différence.

Speaker 1:

Si je viens chez toi, je t'emprunte un chandail et je dis à tout le monde que c'est ton chandail et que s'ils en veulent un nouveau, de t'en acheter dans tes mains et que moi, je leur présente appréciation. Si je viens chez toi, je prends ta télé, je pars avec Tu n'étais pas consentant Et puis je dis que c'est la mienne.

Speaker 2:

Ça c'est s'approprier.

Speaker 1:

Oui, oui, l'appréciation, Les gens, des fois ils sont là, Mais vous devriez être télé est sick, C'est comme. Ok, merci, je vois pas ce que j'ai gagné, mais aïe, Fait que ouais. C'est ça la différence. C'est ça que pas mal tout le monde dit dans leurs mots, mais c'est pas mal ça que tout le monde est d'accord À ton avis? c'est quoi la différence entre un commentaire qui est légèrement déplacé versus quelque chose qui est vraiment inacceptable?

Speaker 2:

je pense que on est dans une ère, dans notre société, en ce moment, où j'ai l'impression que les gens sont trop centrés.

Speaker 2:

je vais être honnête, j'ai l'impression que les gens attendent juste de se faire provoquer pour voir. C'est normal ce que je disais? Je pense que c'est normal. Je pense que c'est des étapes, c'est des vagues. On va revenir à un climat social un peu plus sain, je l'espère bientôt. Mais en ce moment, j'ai l'impression que, peu importe le groupe, les gens sont trop sensibles. Il y a des scandales pour rien. Moi, j'observe ça à distance. Je trouve que ma sensibilité est beaucoup plus.

Speaker 1:

Ça m'en prend beaucoup pour être choqué quand même.

Speaker 2:

Ça dépend, il faudrait des exemples. Non, je comprends.

Speaker 1:

Je te dirais qu'en ce moment, je trouve, moi, je sais pas si je trouve que les gens sont trop sensibles, mais je trouve que tout le monde pense ça. Alors tout le monde réagit en conséquence. Exemple on va dire tu vas me dire, tu vas me parler de l'affaire de pénis, oh non, le once you go black. On va dire you never go back. On va dire que moi, ça me plaît pas, mais je suis comme. Pourquoi tu dis ça? Moi qui te demande pourquoi tu dis ça? toi, t'es la personne blanche dans le scénario. T'es rendu à faire huit vlogs pour expliquer que les Noirs en capotent. C'est comme.

Speaker 2:

Mais j'ai pas encore capoté.

Speaker 1:

On était pas encore rendu au capotage, on n'était pas encore rendu au capotage Fait que là, des fois, j'ai l'impression que c'est comme tout le monde est préparé à ce que l'autre pète une coche. Les gens pètent une précoche pour prévenir le pète. Là, c'est comme si tu fais toute cette réaction-là, ça veut dire peut-être que j'avais raison. Et là, la coche se pète, et là, tout et là, tout le monde est fâché, tout le monde en chican. si t'avais juste répondu à la question de ah, mais j'ai entendu ça dans un film, je l'ai répété, ça aurait fini là.

Speaker 2:

de mon expérience, je pense que, ouais, tout le monde est comme sur la défensive ouais, y'a pas de dialogue en fait, parce que, comme tu dis, là c'est une question que tu poses, mais direct ça devient ça devient une explosion, alors qu'on?

Speaker 2:

devrait pouvoir avoir un dialogue toujours. Je prends l'exemple des mâles alpha. Là, tu sais le gros scandale des mâles alpha. Je suis pas d'accord, évidemment, avec toutes les conneries, mais je trouve quand même que s'il y a des gens qui pensent que ça, on devrait pouvoir discuter avec eux, puis on devrait pouvoir comprendre. Mais là, on ne laisse même pas la peine, ils n'ont pas le droit de parler. Tu comprends ce que je veux dire. Je crois que ça n'a pas de sens.

Speaker 1:

Mais tu vois, moi je trouve qu'ils ont le droit de parler, mais chez eux, vous avez votre podcast, parlez-en, parce que, en fait, c'est même pas quelque chose qu'ils n'ont pas le droit, mais c'est que je trouve qu'il y a tellement d'autres choses qui pourraient passer avant.

Speaker 2:

C'est ça, on est d'accord.

Speaker 1:

C'est ça, c'est comme vous. Vous n'allez pas inviter des activistes anti-racisme, vous allez inviter des masculines qui vont nous expliquer que les femmes sont des connes et n'ont pas de droits. C'est comme OK, nice, puis si c'était en mode, puis aussi, c'est comment c'est fait. Comme je dis, il y a des choses que tout peut être fait. On peut comprendre ce qui se passe, on peut analyser le discours, on peut leur poser des questions, mais exemple à tout le monde en parle, quand ils ont été en tout cas un des deux, quand un des deux s'est rendu jusqu'au bout, puis qu'on le met sur le même pied d'égalité qu'un spécialiste, c'est étrange, parce qu'il n'est pas un spécialiste, lui, c'est un petit gars sur TikTok qui dit des choses qui a entendu, entendues dans un duet qu'il a traduit en diagonale.

Speaker 1:

Puis, il y a quelqu'un qui fait des recherches. C'est bizarre de les mettre sur le même pied d'égalité. Est-ce qu'on devrait les entendre? Oui, mais il ne faut pas faire comme si c'était des spécialistes.

Speaker 2:

Oui, puis, c'est vrai, parce que les gars je suis allé voir, ils ont comme 1000 abonnés. C'est comme eux. Je ne comprenais même pas pourquoi ils invitent tout le monde à en parler. Personne n'en parle.

Speaker 1:

Tu comprends What the fuck, mais c'est parce que j'ai compris qu'un des producteurs tout le monde en parle produisait le film sur eux. C'était sa publicité, mais tu sais, c'est comme invite d'abord juste le producteur. Pourquoi eux spécifiquement, je ne sais pas. Puis aussi, une affaire qui m'a déçue c'est quand lui qui le produit ou qui le réalise, qui était comme Ah non, mais je ne faisais pas ce documentaire-là pour dénoncer, Ce n'était pas pour dénoncer, C'était pourquoi d'abord, Oui, c'est pourquoi.

Speaker 2:

What the fuck.

Speaker 1:

Parce que ce n'est pas comme si je te dis c'est quelqu'un qui dit que les femmes, on ne devrait plus avoir de droit de vote, même On ne devrait pas être valorisés dans la société. Puis, fuck, nous, on est toutes des bitches. Quoi, c'est pas pour dénoncer, qu'est-ce qu'il se passe? Enfine, t'es avec eux, oh mon Dieu. Puis, je suis comme va dans leur podcast. Alors, prends pas l'argent de nos taxes. Là, on me dit qu'on peut pas avoir de droits. C'est quoi cette histoire? Tu fais mes taxes, non. Puis là, je vais te regarder dans ma télé nationale me dire que je vaux de la marde. J'ai parlé. En plus, j'ai fait un live avec un deux là sur TikTok.

Speaker 2:

Ouais, ouais.

Speaker 1:

Ils aiment ça être sur TikTok pour toute la marde Là.

Speaker 2:

ils aiment ça, ils aiment ça, juste me rappeler que je suis grosse.

Speaker 1:

Ah, je suis grosse, je suis grosse. Tu sais que j'aime bien. Ils disaient ça. Oui, oui, ils passent leur temps en disant que je suis grosse. C'est pas bon pour ma santé, mais paye ma santé, garçon, si mon poids te dérange, de chichi, moi, achète des légumes que j'aime, je vais les manger. Achète-moi pas des légumes que j'aime pas là, mais achète-les si ça t'intéresse. Tant que ça Ben, ça m'intéresse pas, tant que ça Ben. Alors, somme ta gueule. T'as deux choix Ça t'intéresse, ça t'intéresse pas. Si ça t'intéresse, règle la situation. Ça t'ont lâché. Est-ce que tu vois que je t'ai dit de faire attention? Non, moi, ça m'aurait pas dérangé que Dieu te reprenne. Les gens sont pas contents quand je dis ça, mais c'est vrai que ça me dérange pas. Dieu peut le reprendre quand il veut, est-ce?

Speaker 2:

que moi, j'ai obstiné.

Speaker 1:

Fais attention à ta santé. Non, fais pas attention.

Speaker 2:

Il y a un train là, va jouer devant même peu importe qui tu es, quand tu penses savoir comment les autres devraient vivre leur vie.

Speaker 1:

Tu viens de le perdre. C'est quoi? leur autre reproche aussi Ouais, c'est ça. Je suis tellement grosse qu'il n'y a aucun gars qui veut de moi. Ça, c'est un reproche. Reproche numéro deux, vu que je suis sur OF. C'est dégueulasse que je me montre à tout le monde. Je suis comme les gars. Vous ne pouvez pas avoir le beurre et l'argent du beurre, c'est soit personne ne me veut, personne s'abonne, soit tout le monde me regarde. Parce que si je suis tellement grosse que personne ne s'abonne à mon OEF, je suis tout le temps tout seul. Vous considérez que je suis?

Speaker 2:

vierge encore.

Speaker 1:

Alors, je suis tout seul sur mon OEF. Veulent les clients que j'ai là? oh, mais c'est sûr qu'il y aura toujours des clients qui vont vouloir des grosses. Voilà, ça répond à ta question.

Speaker 2:

C'est eux qui répondent à la question j'ai pas besoin que tous les clients de la terre. Il n'y a aucune compagnie qui a tout le monde de la terre.

Speaker 1:

Non, mcdonald a pas tous les gens de la terre et ils vivent très bien, je trouve c'est payant ou pas, ton vrai écoute ça dépend des, ça dépend des jours, ça dépend des mois, ça dépend quand je me concentre, parce que la fin, c'est vu que je vois des clients en personne. Puis je fais du hacking, comme je suis millé, une affaire, j'ai pas besoin que rien soit très payant. Tant que tout paye le loyer, je suis good. Je diversifie mes revenus. Là, écoute, je me suis trouvé une équipe pour m'aider. Puis pour 2024 parce que pour 2025, j'ai décidé que 2025, j'allais propulser ce OF au sommet. Ça s'en vient ce moment, avec mon équipe, on a doublé les revenus que j'ai habituellement mais c'est une équipe, c'est quoi son?

Speaker 2:

spécialisé dans le contenu.

Speaker 1:

Ouais, ben, ils font ma promotion maintenant sur Reddit. C'est une équipe qui, eux, sont spécialisés dans le contenu. Ouais, mais ils font ma promotion maintenant sur Reddit.

Speaker 2:

Ah, ouais, ils posent beaucoup sur Reddit pour trouver des gens.

Speaker 1:

Tout parce que Reddit là, moi, c'est un peu compliqué. Quand je me concentre là-dessus, c'est vrai que je gagne des gens, des affaires. C'est juste que si moi, je m'amuse sur Instagram, eux autres s'occupent de poster côté plus business 2025, c'est l'année où j'explose le OF. Tu vas voir, je vais être dans le top 1%, je vais marcher à côté d'Hélène Boudreau, relax. On va aller faire des voyages et des collabs ensemble, hélène et moi. Hélène rappelle-toi.

Speaker 2:

En janvier, j'ai dit C'est toi qui vas être en Colombie l'année prochaine.

Speaker 1:

C'est ça, exact, j'ai marché, j'ai fait des collabs avec les Colombiens. T'as vu le gars tantôt qu'il a fait le bisou. Il va être sous mon ouef tout à l'heure. Pauvre monsieur, j'ai déjà prévu. Pauvre lui, ok. Prochaine question Si tu pouvais changer une chose, regarde ça, c'est la dernière question. Après ça, ça va être la conclusion. Après ça, on va faire le petit segment Patreon.

Speaker 2:

Parfait. Après ça, je vais aller dans la piscine parce que, comme vous pouvez le voir, j'ai chaud Comme ça on ne se retrouve pas choupette.

Speaker 1:

OK, dernière question Si tu pouvais changer une chose dans la manière dont on aborde le racisme ici, i guess c'est quoi que tu changerais.

Speaker 2:

Je changerais. C'est exactement la réponse. C'est que, pour moi, c'est un problème de société, un peu comme le féminisme. Je suis tanné de. J'espère que t'es pas comme ça. Il y a des féministes qui, là, dans la fousse, je suis tanné de. J'espère que t'es pas comme ça. Il y a des féministes qui, la dernière fois, je me souviens, il y a quelqu'un qui a partagé quelque chose. J'ai répondu en story Wow, je suis tellement d'accord. Elle m'a dit tais-toi, t'es un homme. C'est comme what the fuck? C'est comme quoi? Elle a dit, on n'avancera jamais. Pour moi, le racisme, c'est la même chose. Dès qu'on parle de racisme, nous, les Noirs, au Québec, les Blancs, deviennent Non, on n'est pas racistes ici. Non, non, non, non, non. Il faut travailler en équipe. Tu sais, je ne suis pas en train de dire que toi, tu es raciste. Je suis en train de dire qu'on voit ça comme un problème de société, et non pointer du doigt ou se sentir pointer du doigt, plutôt, dès qu'on parle de racisme. C'est là qu'on va avancer, c'est là qu'on va pouvoir avoir une solution collective.

Speaker 1:

Maintenant, c'est la métrique. Je me demande c'est quoi le pouce et c'est quoi la réponse?

Speaker 2:

Il y en a beaucoup pour être des femmes que tu es un homme. Être hé, non, mais il y en a beaucoup pour vrai des femmes que T'es un homme. Être héro, c'est un problème. Alors, c'est fou de passer comme ça. C'est comme C'est comme si tous les Blancs se considéraient qu'ils étaient racistes. Bon OK, tous les Blancs sont racistes.

Speaker 1:

Mais Ha, ha, ha, ha, ha Ha.

Speaker 2:

Ha, ha, ha, ha, ha.

Speaker 1:

Mais tu sais, tous les hommes font partie du problème, de la même façon que tous les Blancs sont racés. Ça veut dire pas nécessairement individuellement, pas nécessairement à tous les degrés, à toutes les secondes, mais c'est aussi de la même façon qu'on fait tous individuellement, pas nécessairement à tous les degrés, à toutes les secondes, mais c'est aussi de la même façon qu'on fait tous partie du problème. Point, dans le sens que quand il y a quelque chose de raciste qui se passe, on ne réagit pas tous forcément, même si ce n'est pas ce qu'on subit, mais en même temps on le subit. On ne le dénonce pas, on ne le dénonce pas, ils n'apprennent pas, ils n'apprennent pas, ils ne changent pas Inconsciemment. On est tous un peu là-dedans, oui 100%.

Speaker 2:

Mais c'est ça, c'est le problème de tous.

Speaker 1:

Que tu sois blanc noir gris m'en fout, c'est ça?

Speaker 2:

Alors que j'ai l'impression qu'au Québec, dès qu'on en parle, il y a une division. Les blancs sont comme non, non, non, ils se défendent tout de suite. Les noirs sont comme ben non, je suis pas en train de me dire toi, je suis en train de me dire aide-moi pour qu'on en parle c'est ça.

Speaker 1:

Le pire, c'est qu'ils se braquent. Moi, je suis contre le racisme. Toi, tu n'étais pas raciste, techniquement, tu devrais être braqué de mon bord, pas du bord inverse.

Speaker 2:

C'est ça 100% Techniquement. tu n'es pas raciste.

Speaker 1:

Avec moi, tu dois être amie, pas les racistes. Mais I guess, grand-maman Ginette est plus importante. I guess, pour la conclusion, je te demanderais de nous dire, avant que je te demanderais de de nous dire, avant que je te dise la question de la conclusion, là, tu peux nous dire un peu où est-ce qu'on peut te trouver pour que les gens te partagent, parce qu'on va quitter bientôt la gang. Moi, je vous rappelle aussi, avant d'aller chez erosteconfanycom, de trouver le code promo BGFL15, d'acheter tous les jeux que vous pouvez acheter et de profiter de la vie.

Speaker 2:

Les pinces, mam avis, les pince-mamelons Pour ceux qui ont des mamelons fonctionnels En tout cas, oui, c'est ça, kevinsynca, ou aussi simple que ça, ou KevinSyn. Sur Instagram, j'anime une soirée d'humour, deux soirées d'humour à Montréal, une fois par mois, à l'étau dans Villeray, à Coing Jean-Ri, saint-denis, et au Yist dans Rosemont-sur-Saint-Zotique. J'invite des humoristes que j'aime juste des coups de cœur, vraiment des belles soirées. Toutes les infos sur Instagram.

Speaker 1:

Bien ça, donc la question de la conclusion. Quel serait ton conseil pour ceux qui écoutent le podcast, ceux et celles surtout celles qui écoutent le podcast qui veulent être plus ouverts d'esprit?

Speaker 2:

mais qui ont peur de faire des faux pas, poser des questions, je pense. Je ne pense pas que personne ne va jamais mal réagir quand tu poses une question et qu'on voit que l'intention est positive. Voilà, je pense que c'est vraiment la meilleure chose que je répondrais.

Speaker 1:

Je suis d'accord. N'ayez pas peur de faire les faux pas.

Speaker 2:

Exact.

Speaker 1:

Je veux dire si tu n'essaies pas, tu risques de le faire plus tard. Demande-moi maintenant, pas à moi, demande aux premiers Noirs que tu croises. Quand tu es rendu à moi, tu devrais être good Dem crois. Quand tu es rendu à moi, tu devrais être de mon prix aux autres. Avant, c'est ça. Maintenant, les amis désolé pour ceux qui sont sur youtube, on va faire une petite section pour le patron fait qu'ils, contrairement aux autres saisons d'avant, là, ce n'est pas sur Patreon que vous avez à l'avance et sur YouTube, vous l'avez après. Non, maintenant, c'est un segment littéralement exclusif. Si tu n'es pas sur Patreon, tu ne sauras jamais de quoi on parle. Oh well, so join the team. Ah, rebonjour, on est bienvenue sur Patreon. Là, là, on est sur Patreon. J'ai raccroché, oh non, j'ai pas dit bisous, bisous cœur, cœur. Eh, bisous, bisous cœur, cœur.